Born to love you

« Une demande à Noël »

L'année s'est terminée bien trop vite à mes yeux, les flocons de neige et le sapin vêtu de blanc et doré font déjà leurs apparitions.

C'est le premier noël que je décide de faire loin de ma famille, en faite non, pas si loin que ça, vu que Tanguy est ma deuxième famille.

Autour d'un bon repas après 1 mois loin de lui, je savourais chaque bouché et le dévorais d'autant plus du regard.

S'il savait que la buche n'allait pas être mon unique dessert.

Minuit sonna, le 25 décembre retentit, et les cadeaux s'ouvrent.

J'offris à ma belle maman deux pierres semi-précieuses, chacune d'elle détenait des vertus différentes,mais toutes deux avaient un point commun, prendre soin d'elle-même pendant mon absence.

Cette femme mérite tout l'amour d'un pays,et encore plus de sa famille.

Tanguy ouvra ses cadeaux, et moi les miens.

« - Tu es fou ?!

- Je suis amoureux, ça n'a aucune valeur

- Ça a dû te couter une fortune

- Ne pense pas à ça, vraiment

- Merci m'amour, je t'aime

- C'est normal n'amour, je t'aime aussi »

Ce que j'ai eu comme cadeau ? Un iPhone, l'iPhone 3GS.

Et nous ne somme qu'en 2013 il faut du temps pour évoluer !

« - on part demain, prépare tes affaires !

- Les miennes sont déjà prêtes ! On part tous ensemble ?!

- Avec Lindsay et Tony

- C'est super !

- Oui on va bien s'amuser ! »

Je vous présente mon deuxième cadeau, nous partons au Futuroscope demain, en amoureux, une situation magique pour se préparer à l'hiver rude qui s'annonçait.

Il est définitivement le rayon de soleil de mes hivers brumeux.

Après ces découvertes quoi de mieux que de se glisser sous des draps humides de désir ?

La nuit fut aussi savourante que ce soir de noël.

Son corps délicatement dessiné au-dessus de moi, comble chacune de mes courbes, mes bras se glissent si naturellement dans le creux de ses épaules. Et mes lèvres se noient si amoureusement contre les siennes, heureusement que pendant un baiser,parler n'est pas nécessaire, car j'aurai perdu mes moyens à chaque fois que ses lèvres auraient croisé les miennes.

La couverture abaissait au niveau de son bassin, vu d'en haut je suis certaine que nous ne formons qu'une seule personne avec la possibilité d'être une douce œuvre d'art le temps d'un instant.

Mon bassin frémissait au rythme de ses mouvements, et son corps se détendait de plaisir au point que sa bouche arriva à la seconde d'après au niveau de mon cou, et il l'embrassa tendrement.

J'atteignais également le sien, et j'en fis de même.

Chaque soir, chaque matin, chaque départ, je le redécouvrait, je l'aimai.

À l'aube, le réveil se mit à vibrer, autant que son cœur imprégnait contre le mien.

« - Mon amour j'ai perdu les billets !

- Tu n'es pas sérieux ?

- On part dans une heure et je ne l'est ai pas !

- Tu les avais posés où ?