Need Of Justice. M.Yng [TERMINÉE]

- Chapitre 38-

WATTPAD BUG PUTAIN ! Vous avez eu trois fois le chapitre 38 avec une fin différente, je l'ai donc écrit comme je le voulais. Les chapitres sont plus court car l'histoire va surement toucher à sa fin ! 

[PDV Hanna]

  [PDV Hanna]Je m'étais préparée en quelques minutes avant de prendre le Tram pour aller au restaurant. Je trouvais sa bizarre que Hoseok et Jimin me demande de venir avec eux manger sans raison... Surtout que j'avais prévu d'aller de nouveau manger avec Yoongi... 

Ils m'avaient donnés l'adresse d'un petit endroit sympa avec un côté familiale. 

 - Mlle ? 

 - Bonjour une table pour trois. Mes amis arrivent. 

 - Je vais vous installer ici. 

 La serveuse m'installait sur une petite table. Je prenais le temps d'observer le petit lieu, c'était rustique, une ambiance tamisé, très calme. A plusieurs reprise la porte s'ouvrait mais toujours pas de Hoseok et Jimin. Je leurs avait envoyée plusieurs messages en dix minutes.

 - J'ai une amie qui est ici. 

 J avais reconnu la voix mais c'était impossible que ce soit lui. Une semaine sans l'avoir vu et j'entend sa voix...Je sentis une présence derrière moi, je ne faisait pas plus attention, mes deux amis m'ont abandonnés, j'ai plus qu'à rentrer.Je pris ma veste et me retournait.

 - Salut ! 

 Il était en face de moi, un peu droit. Je secouait la tete et frottait mes yeux plusieurs fois comme une dégénéré. C'était vraiment pas une hallucination, il était debout, béquille en main, je ne sais même pas quand il les a eu. Vêtu d'une chemin et d'une veste noir, il était classe, lui qui avait porté sa chemise d'hôpital ou même les habits de mon frère au tout début. Ça lui va vraiment bien. 

- Hanna ? Tu vas bien ? 

 Je m'étais assis directement. 

 - Qu'est ce que tu fais là ?Ma question était con. 

Il posait doucement ses lèvres sur les miennes. Par un nouvel élan je me relevais me jetant dans ses bras. Il trouvait un appui en laissant tomber ses béquilles et me serrant à son tour contre lui. Son odeur, sa présence...

 - Attend, attend. 

 Il m' écarte de lui prenant appuie sur la table derrière lui. 

- Désolé.

- C'est pas grave. 

 Je lui donnais ses béquilles et l'aidait à aller à sa place juste en face de la mienne. 

 - Je peux savoir pourquoi tu ne m'as rien dis!

 - Je voulais vraiment te faire la surprise.

 - C'est juste une simple sorti ou tu viens vivre de nouveau avec moi ? 

 - Non, je suis libre ! 

 - Du coup Hoseok et Jimin ? 

 - C'est mes complices. 

 - Traîtres, ils ne m'ont rien dit. Et ils m'ont posés un lapin.

- Tu veux que je les rappelles ? 

 - Non, on reste les deux.

 Il y avait un blanc, je voyais bien qu'il voulait me demander quelque chose.

  - Tu as pu trouver? Je réfléchissais un moment avant de comprendre de quoi il voulait parler. 

- Thibault m'a trouvé un bureau dans son agence, je vais pouvoir reprendre mes activités d'avocate correctement! 

 Il me félicitait puis on mangeait, il me racontait ses séances de Kiné, comment ça c'était réellement   passé, il a déjà prévu ce soir de me faire son poulet au caramel.

 - J'ai eu des nouvelles de Loïc. 

 J avais fermé toute expression de visage. 

- Et ? Ton père a gagné, tu vas partir ? Pourquoi tu ne me l'as pas dis au tout début. Putain j'étais super content et maintenant je vais devoir encore en plus trou- 

 - Oh ! Calme toi, laisse moi finir. 

Il se tue, serrant fortement ses couverts. 

- Ma mère lui a parlé, elle a pu dissuadé mon père, pouvant l'emmener jusqu'au tribunal. 

 - On a plus rien à voir avec eux ?

 - Plus rien !Son sourire reprenait forme sur son visage fin, l'illuminant entièrement. 

La serveuse venait débarrasser notre table laissant la note. Je ne peux pas le laisser payer alors qu'il n'a déjà presque plus rien. 

 - S'il te plait laisse moi t'offrir le repas, c'est mon idée. 

 - Non mais, c'est pas grave Yoongi.

 - Chute.

Il appuyait son index sur ma bouche, se pencha plus au dessus de la table, venait ensuite m'embrasser, puis il se levait et partait payer au comptoir m'obligeant à rester à table. Puis on sortait directement pour prendre le Tram et rentrer chez moi. 

 - Ça fait tellement du bien d'être de nouveau libre.

 Nos mains entrelacées on se faufilait dans la foule.