je t'haine/ PNL

Chapitre 8

« Ma frappe y'a personne qui l'arrête »

⭐️

Mexico,12h

Je ne pris pas le temps de les saluer et j'allai m'enfermé dans la cuisine pour préparer le repas. Quelques minutes plus tard, un torse se colla à mon dos.

Nabil.

Il déposa des bisous dans mon coup. Je le repoussai et essayai de le contourner mais il me retint.

Nabil: Qu'est ce t'as?

Moi: Va faire des bisous à la fille dans le salon non?

Je ne vous répète plus la phrase vous la connaissez « son éternel sourire se nicha au coin de des lèvres »

Nabil: T'es jalouse?

Moi: Non

Il enroula ses bras autour de mon coup et me sussura

Nabil: C'est la go de Karim tranquille y'a rien, j'te les dit t'es à moi

Je souris.

Moi: Ça marche dans les deux sens si moi j'suis à toi, toi t'es à moi.

Il m'embrassa fougueusement en guise de réponse. Mes jambes s'enroulèrent autour de sa taille. Ses mains se placèrent sous mes fesses. C'est qu'il avait de l'expérience le coco. Je le stoppa tout de même puis nous nous séparèrent à bout de souffle. Je m'enfuis honteuse. Nabil n'était pas mon mari et je n'avais pas le droit de me comporter ainsi mais après tout mes frères n'étaient pas là et puis tant que cela n'allait pas plus loin et puis j'étais rongée par le désir...

Quelque minutes après

Le repas était prêt mais personne ne denier à venir manger y compris Nabil. Je montai donc dans sa chambre et le découvris allonger sur le ventre en caleçon. Il était foutrement sexy. Enfin bon, je me ressaisis et m'allongeai à côté de lui. Mes doigts glissaient le long de sa colonne vertébrale et il ouvrit les yeux.

Moi: Tu veux pas que j'te fasse un massage?

Nabil: Tout de suite?

Moi: Bah ouais

Il hésita.

Nabil: Bah si tu veux.

je pris position; m'assis sur ses fesses et mes mains s'appuyèrent sur son dos. Il était extrêmement tendu. À chaque passage de mes mains il frissonnait.
Il n'avait pas l'habitude que quelqu'un le touche ainsi. Nabil n'était pas du genre à parler de lui mais il suffisait de l'observer pour vite se rendre compte qu'il était toujours sur la défensive et se méfiait de tout le monde. Qu'il me permette de le masser était un grand pas en avant pour lui, je pense enfin je suis sure même que j'étais la première femme à le toucher ainsi. Les filles ou plutôt les putes qu'il avait l'habitude de côtoyer n'avaient pas cette chance la. Comme il l'avait si bien dit dans un de ses sons, il n'avait connu les bras d'une femme. En effet, sa mère les a abandonné Tarik et lui. Même s'il n'en parlait jamais il en souffrait.