DU COUP DE FOUDRE, À LA DESTRUCTION

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Avec tout ça, Henri fait souvent des navettes de la prison au bureau pour la signature des documents importants. Et le voilà qui vient vers ma cellule.  Je suis tellement désespéré de ma situation .
- Arrête Avid, de te morfondre ainsi. Justement je voulais te dire qu'elle a eu un enterrement digne de sa réputation.
- A-t-elle eu une bonne place ?

-  Oui. Mon chère ami. Mais j'ai quelques soucis avec les affaires.

-  Lesquels ?

-  La presse ne cesse de te souillé de beaucoup d'injures et autres. Tout cela affecte nos partenaires qui veulent se retirer.

- Oh non ! Que dois-je faire Henri ? C'est une catastrophe !

- J'ai une proposition à te faire pour limiter les dégâts dans les affaires.

- Je t'écoute mon ami.

- J'ai emmené avec moi, des papiers que tu peux signer , afin que je gère les affaires en ton absence. Car je suis sûre que tu vas sortir d'ici dans quelques mois, parce qu'on va faire appel pour une liberté provisoire.
- Bien réfléchi, mon ami. Cela nous permettra d'avoir une bonne image pour les affaires, en attendant que la presse se lasse de moi. Donne je vais les signer.

- Tient les voilà !

Je mets ma signature sur ces papiers sans m'attarder  de leurs contenus parce que j'ai une confiance aveugle en Henri qui est comme un frère pour moi.

- Parfait , t'as tout signé . Maintenant je dois te laisser pour faire valoir ceci à nos partenaires. Afin qu'ils nous lâchent pas surtout en ce moment.

- Merci infiniment Henri, tu es un ami en or .

Après le départ d'henri, je suis resté assis à même le sol avec mes souvenirs qui m' hantent depuis ce jour affreux. Je pleure, je n'arrive plus à manger, ni à boire une goutte d'eau. Tellement je suis brisé, rien n'a d'importance à mes yeux maintenant, ni mes hôtels, mes affaires , mon entreprise, mon argent, plus rien. Voilà pourquoi je n'ai pas hésité de nommer Henri  titulaire de tout mes  biens en mon absence.