Elyos

Chapitre 2

Bonjour vous allez bien?

Je tenais a préciser que, afin de protéger mes écrits, j'ai choisis de ne pas mettre l'entièreté de mes chapitres tant qu'ils ne seront pas sous copyright, car il est très facile de faire un copier/coller d'un texte et le faire passer comme sien.

Bonne lecture!

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Une fois que ma mère eut aussi disparu, je commençais sérieusement à m'inquiéter. Après avoir passer une vingtaine de minutes à peser le pour où le contre, je quittai ma maison, passant par mon jardin et marchai jusqu'à la forêt.

- Qu'est-ce que je fais ? Marmonnai-je. C'est vrai, je devais être chez moi, au chaud, entrain de regarder la télé. Une branche craqua derrière moi me coupant dans mon monologue, je me retournai rapidement. Rien.

-Et en plus de parler toute seule, j'entends des bruits imaginaires, idiote. M'insultai-je.

J'entendis une sorte de grognement. Quelque chose remua dans un buisson, à mon avis se n'est pas une petite bête. J'entendis un second grognement. Je me mis alors à courir à toute vitesse. A ma connaissance, il n'y a pas de loup dans le Massachusetts. J'entendis un hurlement, comme la fois précédent quand j'étais avec Eli. Je zigzaguais entre les arbres courant à toute allure. Je m'arrêtais net. La nuit venait de tombé.

- Pendant combien de temps j'ai courus ? Me demandai-je à voix haute.

Je continuais à marcher mais il me fallut pas longtemps pour comprendre que j'étais perdu et bien évidemment, j'avais perdu mon téléphone durant ma folle course contre personne. Je m'assis contre un arbre et réfléchissais. Ce n'étais pas la peine que j'essaye de faire le chemin à l'inverse car je ne sais plus par où je suis arrivée. Je me remis à penser à mon père, enfermé comme un chien dans la deuxième plus grande prison des États-Unis : Rikers Island. Il me manque terriblement. Je me mis alors à pleurer, et prise par la fatigue, je m'endormis contre je fichu arbre dans cette maudite forêt.

Lorsque je me réveillais, j'étais dans les bras de quelqu'un. Je me mis à trembler de froid, la personne qui me portait dans ses bras comme une princesse resserra son emprise.

- Je te ramène chez toi, dit la personne qui me portait. Sa voix était suave, enivrante, il sentait bon, très bon. Comme hypnotisée, j'enroulai mes bras autour de son cou et posai ma tête sur son torse nu et fermai les yeux. Son torse nu ?! J'ouvris les yeux et regardais autour de moi. Je vis une sorte de gros chien, on aurait plus dit un loup. Je secouai la tête.

- Tu délire complètement ma pauvre. Me soufflai-je. Le garçons qui me portait ricana. Y'a quelque chose de drôle ? Lui demandai-je froidement.

- Eh ! Joue pas à la femelle dominante avec moi, car sa ne marche pas. Répondit-il autoritairement.

- La femelle dominante ? Répétais-je. J'suis en plein délire.

- Tais-toi et dors. m'ordonna-t-il froidement.

Je soupirai et reposé ma tête contre son torse. Quelques minutes plus tard, je reconnue la voix de mon frère.

- Merci mec. l'entendis-je dire.

- Pas de problèmes, vieux ! Répondit le garçons qui me tenait encore dans ses bras.

- Donne moi ma sœur. Dit mon frère.

Je sentis que celui qui me portait venait de reculer, ma tête contre son torse, je le sentis grogner.

- Stop ! Cria ma mère en arrivant et en interrompant les grognements.

Je me retrouvais dans les bras de mon frère.

- J'y croit pas, dit mon frère.

- Je... Désolé.

- Elle n'est pas prête à subir ça ! Elle est trop jeune ! Siffla mon frère.

- Tu n'as pas le choix, je les vue courir, son cycle est activé. Dit l'autre.

- Elle n'y arrivera pas.

- Ne la sous-estime pas ! Me défendit l'autre.

- Rentre chez toi, merci d'avoir ramener ma fille, dit ma mère au garçon.

- Au revoir, Alba. A demain vieux. Puis je l'entendis partir.

- Il vaut mieux que ce soit lui qu'un autre, dit ma mère.

Eli ne répondit pas et rentra à l'intérieur.

- Frangine ?

- Mhh. Répondis-je seulement

- Tout va bien, princesse. T'es rentré à la maison. Tout va bien.