Chapitre 7

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Au réveil, j'étais dans un lit, nue, blottie contre Murphy qui dormais profondément, je regardai son visage angélique. C'est cheveux bruns étaient en bataille et retombaient sur son front. Son cou était abîmé par la morsure de l'Oméga. Je soupirai et me tournai. Murphy vint se collé à moi, posa son menton sur mon épaule, passa son bras gauche par dessus moi et pris en otage mon sein droit dans sa main gauche. Je soupirai d'aise.

- Bonjour, chuchota-t-il. Son souffle vint caresser ma joue.

- Bonjour.

- Ça va ?

- Oui. Et toi ?

- Le plus important c'est toi. Dit-il, mes joue s'empourprèrent.

- Ça va, toi ? Lui demandai-je quand même.

- Oui. Je me retournai pour lui faire face et plongea mon regard dans le sien.

- T'es beau. Lui dis-je en posant ma main sur sa joue.

- Tu me rends dingue. Dit-il d'une voix suave. J'arquais un sourcil. Arrête de faire ça.

- De faire quoi ? Lui dis-je sur un ton je-m'en-foutiste.

- D'arqué un sourcil, de me défier du regard.

- Et pourquoi ?

- Parce que sa me donne envie de te prendre.

- Oh, le mâle dominant au rôle de sage et en fait un pervers. Dis-je, il souris. Je suis désolée pour hier, je sais pas ce qu'il m'a pris... Il fronça les sourcils. J'aurai sûrement était capable de te faire du mal quand tu t'es es pris à lui et...

- Tu es une traqueuse Ella. La meilleure des chasseuses. Ta proie est ta proie. Dit-il en me coupant la parole.

- J'aurai pus te blesser.

- Mais tu ne l'as pas fais, au contraire, tu m'as sauvé la vie.

- Tu me l'as sauvé en premier, je t'en devais une.

- Non, Ella. Tu as fais sa par instinct. On est fait pour être ensemble. Nous sommes liés. Tu es miennes, tu m'appartiens. Tu es a moi, et aucun autre mâle pourras te convoiter.

- C'est beau. Dis-je ironiquement, il me lança un regard noir, j'arquai un sourcil, il grogna de désir. Je le poussai et m'installai sur lui. Je plaquai mes lèvres sur les siennes. Ses mains se baladaient sur mon corps nu. Puis, il nous retourna de façon à se qu'il soit au dessus.

- Ici, c'est moi qui domine. Dit-il avant de m'embrasser.

Je raclai mes oncles contre son dos, le faisant grogner. J'enroulai mes bras autour de son cou et enroulai aussi mes jambes autour de ses hanches.

- J'ai envie de te prendre la maintenant. Dit-il.

- Qu'est-ce-que tu attends ? Lui dis-je telle une délurée.

- J'ai pas de capotes...

Je grognai de déception et me roula sur le côté.

- Tu viendras avec moi en chercher ? Demanda-t-il sur un ton enfantin.

- C'est toi l'mec dans l'histoire. Tu gères les trucs de mec et moi les trucs de filles. Il souffla bruyamment.

- Je vais me doucher, dit-il en passant par une porte en bois.

Après plusieurs minutes de répit, je me levai et observer la chambre de Murphy, elle était grande, un grand lit a baldaquins était encadré de deux grande baie vitré donnant sur la forêt, en face du lit se trouvait un écran télé géant. Il y avait une bibliothèque et à côté de celle-ci, une porte. J'ouvris doucement la porte. Elle donnait sur un grand dressing. Il y avait un côté pour Murphy, et un côté vide, sûrement pour moi. Dans cette partie qui m'était sûrement destinée, se trouvaient deux robe noire simple, une paire d'escarpins, et une jupe droite. Je quittai le dressing et retourner dans la chambre. M'apercevant que j'étais encore nue, je mis mes sous-vêtements et plongeai dans les couvertures chaude du lit. J'enfouis mon visage dans l'oreiller de Murphy afin de pouvoir sentir son odeur. Une masse énorme tomba sur moi.

- Oh, Murphy. Dis-je la tête encore dans l'oreiller.

- Mauvaise personne.

- Eli !

Je me retournais difficilement, afin de faire face à mon frère. Il était torse nu avec seulement un jogging gris.

- Je t'écoute. Lui dis-je.

- Je suis au courant pour hier. La meute veux t'intégrer. Dit-il déçu.

- Bah, c'est cool, nan ?

- Non, je refuse que tu deviennes une arme.

- Je suis pas une armes. Puis de toute façons Murphy est mon âme-sœur, donc je vais pas avoir le choix. Il pouffa.

- Les âmes-sœurs peuvent vivre séparer.

- Pas sûr.

- Comment peux-tu avoir confiance en lui ? Demanda-t-il.

- C'est ton ami Eli ! Ne sois pas idiot ! Toi même tu as confiance en lui ! C'est mon âme-sœur et je l'aime. Si ça te va pas, tu peux toujours rentré à la maison.

Il se leva et se dirigea vers la porte. Puis se retourna vers moi, la main sur la poignet.

- Maman veut nous parler. Alors dépêche-toi de descendre s'il-te-plaît.

Puis il quitta la chambre. Je m'assis en tailleur la couverture sur mes jambes. Je soufflai et me levai. Je pris un tee-shirt appartenant à Murphy et l'enfilai, il m'arrivait juste en dessous des fesses. Puis je quittai la chambre. J'atterris dans un grand couloir avec plusieurs portes, toute fermées. Je trouvai facilement l'escalier et le descendis rapidement, j'allais dans le salon où plusieurs personne

étaient assissent, d'autre debout, mais tous affiché une mine triste. Une femme ressemblant à Jordan et Murphy avait la main posé sur l'épaule de ma mère.

- Maman ? Elle leva la tête. Qu'est-ce-que tu voulais me dire ?

- C'est ton père... dit-elle tristement. Ton père est...

- Il est quoi ? Paniquai-je.

- Ton père est mort. Dit-elle.

J'avais l'impression que tout mon monde venait de s'écrouler. Mon père est mort. Il est mort sans que je puisse lui dire au revoir. Une boule se forma dans ma gorge. Je fermai les yeux et respirai profondément pour retenir mon envie de meurtre et mon envie d'exploser.

- Ella. Je suis désolée. Dit ma mère, les larmes roulant sur ses joues.

ElyosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant