Ton silence hurle dans mes tympans,
Que l'on te taise, et plus fort je t'entends.
À l'écoute, t'écris, tes cris sont éloquents.
Leurs paroles, non crédibles, un bruit assourdissant.
Leur esprit, trop étroit, une imposture d'indécent.
Pour leur discours incohérent, je n'ai plus le temps.
Je suis ton passé, ton futur et ton présent.
Princesse, Déesse, de tous mes temps.