Je m'improvise dentiste pour arracher
Les dents d'un vampire déambulant,
S'acharnant sur des innocents.
Il voudrait voir les miens pleurer,
Érotomane à ses heures avant le dépit
De ses fantasmes ignobles de perverti.
Ses obsessions sexuelles de masturbé
aussi salaces Que sa sale face
De force molle comme une limace.
Lorsque sans un piteux dentier
Le vieux bavera encore à défaut
D'écrire, je l'écraserai tel un asticot.
Ses tripes explosées je pourrai me reposer,
Sur ses échecs itératifs depuis le berceau.
Il cracha sa frustration, je lui péta le nez le sot.
Ne t'approche plus jamais, ni de moi, ni des miens,
Ou je te crève les yeux avec ma plume de mes mains.