Si ils sont pas nets je les formate
leur disquette prouve qu'ils datent
si ils se regardent dans un miroir
qu'ils ouvrent les yeux et ne restent pas dans le noir
puisqu'il n'y a plus d'espoir.
on sera morts ou les plus forts
mais on sera comme l'Or:
je t'ai donné mon cœur
tu m'as donné ton corps
c'est ça le bonheur.
Je veux ton odeur
dans les narines,
pas de cocaïne,
je veux ton ardeur.
On reste incompris
par des incompréhensibles,
on subit les mépris
venant d'incohérence répréhensible,
on est pris pour cible
par leur morale
à deux balles:
mascarade sans éthique
qui parasite comme tique.
La jalousie est une maladie
causant des calomnies
l'honneur n'a pas de prix
je laisse un blanc sur la carte
et que la vie m'écarte
de ces fous écarlates
il me reste quelques cartes
puis la partie
sera finie:
promis.
Plus que quelques affaires
et j'arrête j'ai mieux à faire.
On en a marre
ça nous égare
comme un train sans gare.
Dans la misère
on apprend à être solidaires,
dans leur richesse ordinaire
ils sont en mode prolétaire.
Je peux pas me parfaire
mais je peux me refaire
plus que quelques affaires.
En attendant
je passe mon temps
à penser à toi
c'est ma nouvelle foi
j'y crois
dur comme toi.
Tu ressembles au ciel
tu es si belle
que je me perds dans ta sphère.
Tu es aussi parfaite
que la beauté céleste,
tu remplis ma tête
et la délestes
d'un poids gigantesque.
Je te texte, je te teste, ma fresque
n'a des yeux que pour toi maintenant,
depuis
que tu as pris
mon cœur et mon temps,
je t'attends
à chaque instant
je te guette.
Tu es une caresse
dans ce monde de peste
ma déesse moitié tigresse
moitié princesse,
tu es la reine du royaume
où tu gommes
tout sauf nous.
Tu es comme Cléopâtre
ta voix raisonne au palais
si fort que César se tait
car sa bouche a un plâtre.
Le monde te doit le silence
car c'est à toi que je pense
si fort que tu puisses l'entendre
si fort que cela me rend si tendre.
Si le monde t'offense
je prends ta défense
car c'est toi qui me panses.
Je t'aime