Dans cette fanfiction, je vous propose de rejoindre le quotidien de Noërae, employée à Carter Corp aux côtés du charmant Matt, un graphiste à l'allure féline.
Leur amitié quasi parfaite pourra elle basculer du jour au lendemain en une histoire d'amo...
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Ce matin, je suis en train de m'habiller lorsque je repense à la soirée d'hier. Mon charmant brun semble être d'une nature plutôt possessive, c'est le moins qu'on puisse dire !
Je repense à sa réaction lorsque je prépare mon sac de sport pour la salle. Mon ténébreux doit venir me chercher pour qu'on aille un peu se défouler ensemble.
Hier soir, il m'a raccompagné jusqu'à chez moi mais j'ai fait exprès de le laisser mariner "dans son jus" (Oh..Ce n'est pas élégant ?) après sa petite scène.
Je suis en train d'enfiler mon jean lorsqu'on tape à ma porte. Devinant qui c'est, je ne prends pas le soin de mettre un top ni de boutonner mon pantalon et ouvre dans cette tenue.
M : "Hey..Salut ma belle..."
Ses yeux me fixent intensément puis descendent sur mes courbes alors qu'un air plus malicieux se dessine sur son visage.
M : "Toi t'es folle de m'ouvrir dans cette tenue"
Je le cherche aussitôt pour l'agacer un peu et lui répond :
N : "En fait, je pensais que c'était le facteur, j'attends un colis"
Il avance vers moi tel un prédateur et attrape mes jambes qu'il hisse en un geste autour de sa taille, alors qu'il nous fait avancer dans l'appartement après avoir claqué la porte d'un revers de pied, il me dit d'une voix suave :
M : "Arrête de me rendre fou..sinon il va t'arriver malheur"
Il nous emmène ainsi jusqu'à la chambre puis me dépose sur le lit pour venir s'allonger sur moi.
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Aussitôt j'essaie de m'extirper de ses griffes et tente de fermer mon jean mais il m'en empêche de sa main chaude. Délicatement ses lèvres se rapprochent des miennes alors que ses doigts glissent doucement vers le point le plus sensible de mon anatomie.
D'une voix étouffée contre ma bouche, il me lance :
M : "C'est moi qui te fait mouiller comme ça ?"
(Non, le facteur, on t'a dit !)
Il commence lentement à jouer avec lorsque je lui dis d'une voix suppliante :
