Dans cette fanfiction, je vous propose de rejoindre le quotidien de Noërae, employée à Carter Corp aux côtés du charmant Matt, un graphiste à l'allure féline.
Leur amitié quasi parfaite pourra elle basculer du jour au lendemain en une histoire d'amo...
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Un escalier nous emmène vers le pont supérieur du bateau où nous rejoignons notre chambre.
Alors que Matt passe le premier et ouvre la porte sur la merveille qui s'offre à nos yeux, je ne peux m'empêcher de poser ma main sur la bouche, complètement interdite.
A demi-mots, j'échappe :
N : "Mon dieu...C'est absolument sublime"
Je détaille la chambre sous toutes les coutures, la baie vitrée grande ouverte nous offre une vue splendide sur l'Hudson.
Fier du petit effet qu'il me provoque, Matt me demande :
M : "Ça te plait ma princesse ?"
Personne au monde ne pourrait répondre non.
Ou bien un vrai connard, si.
(#dédicaceànosex)
N : "J'adore, vraiment"
D'un geste, il vient se placer derrière moi et pose ses larges mains sur ma taille pour me susurrer à l'oreille de sa voix mélodieuse :
M : "On adore trop, c'est ça ?"
Je me blottis contre son torse et me laisse bercer par ses paroles rassurantes puis lui réplique :
N : "Exactement, et plus que ça encore"
Il quitte ensuite notre proximité pour se défaire de sa veste qu'il jette sur le fauteuil nous jouxtant puis s'attelle à déboutonner sa chemise et en remonte les manches d'une manière absolument craquante.
Je n'en perds pas une miette....trop fascinée par l'image sublime qu'il me renvoie.
M : "Qu'est ce que tu regardes comme ça ?"
(Je ne regarde rien, je mate. Effrontément. Un dieu grec. Chris Hemsworth est loin là !)
(#femmeamoureuse)
N : "Toi. T'es magnifique avec ta chemise là...je m'en lasse pas..."
Il s'amuse de ma réflexion puis la déboutonne entièrement pour s'en débarrasser en m'offrant au passage le spectacle de ses abdominaux aux lignes parfaites.
M : "Et là ? C'est mieux ou non ?"
Devant la carrure de mon apollon, je m'en rapproche aussitôt pour me fondre contre lui et caresse son torse du bout des doigts.
Je le sens devenir plus fébrile devant ce contact tandis qu'il embrasse tendrement le sommet de mon épaule avant de me glisser :
M : "Viens, on va sur la terrasse un peu..."
A l'heure qu'il est, je ne vais plus le contredire en quoique ce soit, je n'ai qu'une envie, retrouver les bras de l'homme que j'aime, sentir sa peau réagir contre la mienne, entendre ses suppliques, aspirer son souffle.
