Dans cette fanfiction, je vous propose de rejoindre le quotidien de Noërae, employée à Carter Corp aux côtés du charmant Matt, un graphiste à l'allure féline.
Leur amitié quasi parfaite pourra elle basculer du jour au lendemain en une histoire d'amo...
Ne dit-on pas que tout vient à point à qui sait attendre ?
Cela tombe bien car le week-end tant attendu est enfin arrivé ! La semaine m'a paru plus longue que jamais, entre les dossiers à gérer et un Mattiou chaud patate qui me refaisait la cour comme au premier jour, l'ambiance était...bouillante !
Hier soir, j'ai pris grand soin de préparer mon sac en n'omettant pas les valeurs sûres : de la lingerie délicate, mes produits de beauté (qui me sauvent la mise dans bien des situations !) puis plusieurs tenues de rechange ne sachant pas ce que Matt m'a concocté.
Espérons pour moi que ce ne sera pas un sport extrême !
Quoique...les câlins avec lui pourraient s'apparenter à un entraînement.
Il est bientôt 9h et je suis fin prête pour ce week-end qui s'annonce romantique je l'espère.
J'ai moi aussi quelques petites surprises pour Matt...
Me voici brusquement sortie de mes pensées lubriques par le rugissement d'un deux roues.
J'attrape mes affaires et inspecte une dernière fois mon appartement avant de descendre les marches à grandes enjambées.
Devant l'immeuble, l'image qui s'offre à moi est digne d'une publicité tant elle affole mes pauvres petites hormones déjà bien malmenées ces dernières semaines.
Matt se relève délicatement de sa moto pour retirer son casque et secoue sa chevelure dans un mouvement sexy.
Je manque de m'évanouir devant cette vision animale puis me reprend pour m'approcher de lui tout sourire.
N : "Hey beau gosse"
Son visage s'illumine devant mon regard prometteur et je le crois devenir encore plus craquant qu'il n'est.
(C'est dire !)
M : "Hello ma poupée"
Devant sa mine sexy, je me vois mal lui claquer une bise ! Je m'approche davantage avant qu'il m'attire littéralement à lui d'un coup sec.
J'étouffe un léger gémissement de surprise et en perd mon sac qui tombe au sol.
Mon sulfureux partenaire pose ses yeux sur mes lèvres avant de les replanter dans les miens, le trouble qui s'empare de moi est tel qu'il s'en amuse tandis qu'un petit rictus satisfait orne son beau visage.
Lentement, il rapproche sa bouche de la mienne et dépose un baiser d'une lenteur calculée sur mes lèvres que j'entrouvre à peine pour le laisser me déguster.
Puis ma volonté revient à la charge (Enfin ? La garce, où étais-tu passée ?) et me donne la force (ou la bêtise !) nécessaire de poser une main sur son torse pour le repousser à peine.
Il se détache aussitôt comme si ce furtif baiser lui avait laissé suffisamment d'espoir puis me lance :
M : "Bon, allez grimpe on y va !"
(On parle de la moto ?)
(On ne sait jamais !)
(#automoto)
Je m'exécute et enfourche son engin aussi gracieusement que possible. Gentleman, mon apollon fixe mon casque avec une précision méticuleuse.
Les bagages calés à leur tour, nous démarrons dans un nuage de fumée et avalons les kilomètres qui nous séparent du chalet.
Vers la fin de matinée, nous voyons enfin se dessiner le paysage enneigé du Vermont.
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