Dans cette fanfiction, je vous propose de rejoindre le quotidien de Noërae, employée à Carter Corp aux côtés du charmant Matt, un graphiste à l'allure féline.
Leur amitié quasi parfaite pourra elle basculer du jour au lendemain en une histoire d'amo...
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Seule aux prises du blondinet, je lui lance un regard suppliant tandis qu'il se saisit d'un cordage.
N : "Sebastiàn...s'il te plaît..."
Il m'attrape par la main pour m'emmener à nouveau sur le canapé qui semble devenir mon meilleur allié tout à coup.
(#poltronésofa)
S : "Je ne te laisserai pas partir ma belle, garde tes larmes"
(Oh ben dis donc, sympatoche le Seb ! Va te faire !)
Vexée, je peste en silence tandis qu'il m'attache solidement les mains.
N : "Tu me fais mal"
Il me regarde en souriant puis serre davantage les liens.
S : "Désolé, mais je veux juste m'assurer que cette gueule d'ange ne va pas essayer de m'la mettre"
(Ah ben j'aimerai bien au contraire !)
(#humourgras)
(#riresetchansons)
Je lève les yeux au ciel avant de lui répondre :
N : "Tu sais ce qu'elle te dit la gueule d'ange ?"
Ainsi attachée fermement, il prend mon menton entre son pouce et son index avant de me dire d'une voix douce :
S : "J'imagine..."
(Entre Daryl et lui, on est sur deux salles deux ambiances quand même !)
Nous nous échangeons un regard complice un quart de seconde alors qu'il quitte brusquement notre joute visuelle comme pour s'empêcher de quelque chose.
Puis il sort un ruban adhésif de sa poche pour le découper de ses mains.
Etre ficelée comme un jambonneau est une chose, mais me faire taire en est une autre !
Je tente le tout pour le tout et le supplie de m'épargner le bâillon.
N : "Sebastiàn, s'il te plait, pas ça, je te promet que je ne dirais rien !"
Devant ma moue implorante, il pousse un lourd soupir puis se ravise.
S : "Qui me dit que je peux avoir confiance en toi ?"
Il rapproche son visage du mien, nos lèvres se frôlent presque et je peux sentir son souffle contre le mien.
S : "Ces beaux yeux me persuadent du contraire..."
(J'ai des beaux yeux ? Oh mais on adore ! Bon, je suis son otage mais les compliments, c'est toujours bienvenu !)
Le sentant troublé, je profite du moment pour l'amadouer d'un délicat sourire.
