Oublie-moi... Oublie-nous..

Envie de mourir

Pdv Hermione:

C'est l'heure de diner. Je descend donc telle une automate dans la grande salle pour manger bien que je n'en n'ai pas envie du tout. En plus du cours désastreux de divination ce matin et des larmes que j'ai versé toute la journée dans les toilettes de filles comme une première année, Narcissa m'a envoyé une lettre disant que Sco' a été admis à Sainte-Mangouste dans l'après-midi parce qu'il avait de grande monté de fièvre. Un des médicomage a dit que des poursuite était engagé pour maltraitance. Je risque donc de perdre mon fils. La blonde leur a expliqué que la soeur jumelle du patient n'avait rien et que jamais ni moi ni Narcissa n'aurions levé la main sur un enfant mais ils préfèrent quand même enquêter. Ce qui n'a pas amélioré mon moral qui été déjà au plus bas. Si on me retire mon fils... Je ne sais pas ce que je ferai. Si on me le retirais j'aurai l'impression d'avoir échoué dans mon rôle de mère. En temps que telle je ne peux laissé faire ça. Si on me retire mon fils je perdrai ma fille par la même occasion, mes piliers, ceux sans qui je me serai déjà taillé les veines ou sans qui j'aurai sauté de la tour d'astronomie, je ne pouvais pas les perdre. Sco' ressemble tellement à Draco... En perdant Sco et Cassiopée je perdrai la dernière chose (à part mes souvenirs) qui me raccroche à Draco. 

J'entre dans la Grande Salle en essayant de ne pas faire de bruit mais les portes en s'ouvrant font un magnifique bruit bien sonore qu'on a du entendre jusqu'au côté moldu du coup tout le monde se tourne vers moi. Les nouvelles vont vite à Poudlard car j'aperçois des regards accusateurs sur moi. Les serpents me regarde avec étonnements ou avec dégout et haine comme d'habitude, les aigles et les blaireaux bien qu'ils aient été mis au courant me regarde comme s'ils ne pensaient pas un traitre mot de mon histoire et les lions me regarde pour certain avec dégout pour avoir trahi ma maison, mais toute les filles de la salle me lançais des regards rempli de jalousie. Pour tout vous avouez je m'en fiche, mon regard à été attiré par lui en entrant dans la Grande Salle, mais il n'était pas seul. Sa soit disant "copine" plus idiote que Lavande Brown et Pansy Parkinson réuni est collé à lui comme une huitre à son rocher. Ne pas montrer sa jalousie est difficile étant donné que c'est  mon mari qu'elle touche, le père de mes enfants qu'elle embrasse, même Narcissa ne la supporte pas. D'après elle, blondasse n'aurait pas de conversation, pas d'intelligence. Narcissa m'a même dit que si son fils sortait avec une poupée gonflable ce serai exactement la même chose étant donné qu'elle est muette et que quand elle parle c'est pour essayer de se sentir supérieur aux autres.

Le silence reste pendant de longue minutes dans la salle, moi je m'assois à ma table car je veux commencer à manger rapidement quand Dean me lance un regard noir auquel je réponds par un léger plissement de sourcils. Il me dit parmi le silence de la salle qui est pourtant pleine d'étudiant.

DT (Dean Thomas): Tu n'as plus rien à faire à la table des Gryffondor je pense.

HG: Dean, sérieux ce n'est pas drôle.

SF (Seamus Finnigan):  Après avoir trahi ta maison, tu n'as plus le droit de t'assoir ici. Vas chez les Serpentards s'il te plaisent tant.

HG: Je vous explique juste une chose: cette table n'est pas à vous et je suis à Gryffondor, je n'ai pas trahi ma maison, et je tiens à te signaler que sans moi tu serai mort.

Le silence général a été durant tous le long de ma tirade ponctué par des cris de surprise. Personne ne m'avait encore vu répondre à se point.

HG: Seamus, Dean, la plus grande qualité de Gryffondor c'est le courage. Donc pour toi rompre le seul amour que tu as jamais eu dans ta vie, rompre les liens avec toute ta famille qu'aucune des personnes que tu aimes se souviennent de toi, élevé deux enfants pendant un an et demi en pleine guerre en même temps que je combattais le plus grands mage noir de tous les temps.