Ô mon effigie, tes yeux rivés au ciel
Enchaîné à notre folie
J'accepte de m'accrocher à tes ailes
Par instinct de survieEt si tu es prête à survoler cet amour
D'un éternel supplice
Sans écouter la voix des beaux jours
Pour surseoir le déliceQue dire d'amour si n'est-ce d'insensé
Quitte à plier la chaîne
Puisque les règles sont transgressées
Deviens notre oxygèneJactancieux, je ferais avec ce que j'ai
Quoi que le problème
Quoique la flamme soit un feu de jais
Sensible au Je t'aimeEst-il un cœur capable de te résister ?
L'accent de ton accent
Qui chante ton corps sans te nommer
Quel talent truculentMais j'ai si peur, si peur de te perdre
Que mes sentiments
Pourtant volubiles, dans ce mal-être
Survenu habilementQuitte à s'interroger intérieurement
Qui me rattrapera ?
Sur un bagou à rompre tout serment
Qui me consolera ?Si ma meilleure demeurera existentielle
Qui te remplacera ?
Rien qu'Alcide pour briser la ribambelle
La foudre sur Atilla‹‹Coup De Foudre››
by Keven©Kevlar
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Odes Défendues
PoetryHommage au corps féminin, archétype de l'érotisme - dans une littérature qui désormais, a sa place dans nos bibliothèques - véritable invitation à l'amour du désir, dont l'apogée n'a point de Mont ; Initiation à un désir de l'amour, dont la plongée...