Quand collés, l'on s'est embrassés
Ce fut un Feu d'artifice dans la bouche
Chantre de l'orgasme, je suis enchanté
Parleras-tu ma langue, à la louche
Si défoncés, par ma longue gorgée
Le dialecte soit ton silence à la doucheRemue ma queue, fais ta chienne
Tout en honorant, ton onéreux fessier
Nectar de l'envie, toi à la file indienne
Enfile le mâle ! toutefois cambrée
Aumône d'une fessée à l'italienne
Rapproche tes seins et fais moi valserQue dans la douleur, Je te regarde
Avec un tortueux sourire me tortillant
Mon Cœur, qui lui t'aime par mégarde
Si victime de ton sourire attrayant
Sur tes lèvres malgré qu'hagardes
Qui est peins à fresque, Visage saillantJe t'aime pour un soir, si un jour
Je bifle ta joue pour sonner ma cloche
Si le sexe est un prodrome de l'Amour
C'est à ce sexe que je m'accroche
Tous les jours, Je serai au labour
Te baisant dans la pire des débauches‹ Parce que je suis un obsédé ›
by Keven©Kevlar
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Odes Défendues
PoetryHommage au corps féminin, archétype de l'érotisme - dans une littérature qui désormais, a sa place dans nos bibliothèques - véritable invitation à l'amour du désir, dont l'apogée n'a point de Mont ; Initiation à un désir de l'amour, dont la plongée...