S'il y eût parfois dans mon silence
Un bruit muet qui criait ton Nom
Si n'est-ce ce jour de réjouissance
Ivraie dans mon cœur sinonTes mains au dôme de ma poitrine
serraient ce vide qui m'étreint
Et pointant du doigt la vigne
Il n'y a aucun de tes parfumsAinsi car forte fut ma douleur
Dans tes yeux, j'ai dû plonger
Pour venir cueillir quelques fleurs
À l'entrée de ton jardin secretMais jeté, telle une bouteille à la mer
J'étais... très stupéfait de te voir
Te regardant par dessus la mer
En quoi le ciel aurait ton regardEt me dit le reflet de ton miroir
Qu'une timide paupière retient
Neptune se noierait dans ton regard
Que Poséidon voudrait être TienYeux revolver, Regard qui tue
Tu me fixes comme Monalisa
Mais qui donc es-tu, Déesse ou Statue
Aphrodite souriant l'énième foisPourtant le vent emporte mes doutes
Et la vague se brise dans ta voix
Mais tu es une oreille qui écoute
- Tantôt ma peine et tantôt ma joieDonc, retenant ferme à chaque prière
Tes ailes, Ô Mon Ange Gardien!
Comme à une fleur saisonnière
Laisse moi te fuir...- Non ! Retiens ma main
Just for You my CONFIDENTE sarahaurlie
VOUS LISEZ
Odes Défendues
PoetryHommage au corps féminin, archétype de l'érotisme - dans une littérature qui désormais, a sa place dans nos bibliothèques - véritable invitation à l'amour du désir, dont l'apogée n'a point de Mont ; Initiation à un désir de l'amour, dont la plongée...