Chapitre 2

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- Qui est ce ?? Dis-je en remplaçant l'historique de mon ordi.
- Ouvrez s'il vous plaît.
J'ouvris avec méfiance. Une homme, plutôt décontracté, grand, cheveux châtain cours, peau matte, de magnifique yeux bleu, est accompagner de quatre soldats armées jusqu'aux dents.
- Jolie matériel... On devrait l'embarquais, non? Oups!! Pardon, Je ne me suis  pas  présenter. Je m'appelle... BOUM!!!!!!
- Que se passe-t-il?!!!!!
- Alerte, Alerte, on l'embarque!
On me poussa dans le van deux soldat et l'homme décontracté monte à l'arrière avec moi. Je pense que les deux autres conduisent le van.
- Que ce passe-t-il? Qui êtes vous? Et pourquoi vous m'enlever dans mon propre van?!!!!!!!!
Personne ne réagis. Les 2 soldat sont assis à côtés de moi, ne bougent pas d'un pouce. L'autre homme a l'aire de réfléchir.
BOUM!!!!!!!!!!!! Je pense que cette explosion était à côtés de nous, parce que j'ai été expulsé contre le plafond du van, qui m'assomma.
Je me réveille sur un lit d'hôpital, dans une pièce toute vitrée. L'endroit où je me trouve ne ressemble pas vraiment à un hôpital. A travers la vitre, je vois un laboratoire.
- Ah!! Tu est enfin réveillé!
- Où suis-je?
- En sécurité ma belle.
- Ça fait combien de temps que je dort?
- 1 semaine.
- 1 semaine!!!!!! Et mes parents, ils doivent s'inquiéter!!! Je dois aller les voir. Dis-je en commençant débrancher tout les files qui était brancher sur moi.
- Ouh la!! Doucement. Tu ne sortira pas d'ici temps que je n'aurai pas finie.
Je fais comme si je n'avais pas entendu et commence à m'approcher de la sortie. Le labo est vide!! Enfin il y a un homme qui travaille sur mon ordi.
- Et toi la bas! Touche pas à sa!
- Jemma, qu'est ce qu'elle fait dehors?
- Désoler Fitz. Sa ne se reproduira plus.
- Pas grave.
Un autre homme, qui sort de nul part, plutôt baraquer, m'attrape par derrière et me remet dans le lit.
- Lâchez-moi!!! Me touchez pas!!!!
On me fit une piqûre qui me relaxa.
Je m'endormis.
Je me réveille 1 heure plus tard. Je remarqua qu'on avais changer d'endroit. J'étais dans un avion. Il était immense, de l'intérieur. J'était dans une pièce toute blanche avec un lit, sur lequel je suis couché, une armoire, des fenêtre, le tout blanc (sauf les fenêtres évidemment).
- Tout le monde s'attache on décolle! C'était une voie féminine qui venait des hauts-parleurs.
Jemma m'attacha et alla se mettre à côté de Fitz.

Ophelia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant