||Dans la peau d'une princesse|| • KOOKMIN •

Сhªрıтгe 4

Je ne m'appelle pas princesse

Le petit tchirp des oisillons et oiseaux me réveilla. Je ne savais pas où je me trouvais. Encore moins comment j'étais arrivé là.

Si je devais décrire la pièce dans laquelle je me suis réveillé, je dirais qu'elle est très sombre et pas accueillante du tout.

Les murs sont très grands et très larges. Ils possèdent une couleur noire mat. Les fenêtres ont également la grandeur des murs, coiffées par des rideaux plutôt pourpre. La lumière transperçait cette énorme pièce dû aux rideaux ouvert à moitié.

Je me suis redressé pour me lever et toucher le sol et dès la première sensation, j'ai cru dure comme fer que mes pieds touchaient de la glace. Mais non, c'était du carrelage de haute qualité. Je pouvais voir mon reflet dedans.

Je me suis avancé grâce à des petits pas. J'avais peur que quelqu'un entre soudainement.

Je ne sais pas vraiment pourquoi j'agissais comme cela. Comme si ma venue ici ne m'avait pas troubler mais c'était le cas.

J'étais grandement troublé.

Ma maison avait brûlé. Et si ce n'était que ça. Ma famille aussi l'avait été et je n'avais su rien faire. J'ai été impuissant face à ce que la vie m'avait enlevé, m'avait volé.

Je n'ai aucune informations précises quant à mes parents. Sont-il vraiment morts dans l'incendie..? Que sont-ils devenues..?

Nous n'avons qu'une vie et c'est si triste qu'elle décide d'être injuste envers nous.

Même les parents de mon meilleur ami m'ont délaissé. Moi qui croyait qu'ils allaient m'aider. Idiot suis-je, je m'était totalement tromper.

Qu'elles ont été leurs raisons de m'envoyer dans cet endroit? Pourquoi diable ont-ils fait cela...

Ces gens étaient les premières personnes en qui mes parents voues confiances aveugle. Et tout de même, me voici sans personne ici.

J'ai décidé d'arrêter de me torturer l'esprit. À quoi bon, de tout façon.

Il fallait que je trouve quelqu'un ici qui pourrait m'aider.

J'ai ouvert la porte grinçante de la chambre et j'ai commencé à déambuler dans les couloirs.

De longs et obscures couloirs. Je ne pouvais pas apercevoir la fin de ceux-ci.

Si c'était obscur, c'était bien à cause des tentures à point fermés. Comme si les gens habitant dans ce chateau dormaient tous. Étrange.

Mon bon sens me disait alors d'ouvrir une ou deux tentures, histoire d'éclairer ces pièces inertes.

Je regardais à droite et à gauche et c'était hallucinant comment je ne pouvais croisés personne.

Encore une fois, on pourrait dire que j'ai parlé trop vite.

Au moment où j'ai aventurer ma main vers ce tissu d'un noir charbon, j'ai senti une présence autour de moi.

Une présence froide et lourde.

Je savais ce que c'était. Ici ou d'où je venais, ces créatures obscures me suivent de partout.