Muileh Vice, et son étrange amour.

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Fermé les yeux, respirer et inspirer, maintenant essayé imaginer, une balle de golf sur une route. Dites-vous qu'elle vous représente et maintenant imaginé un immense rouleau compresseur qui avance doucement vers vous, ce qui semble dans cette scène une fatalité représentera tout le négatif dans votre vie, donc elle avance jusqu'à vous passer dessus de tout son poids, à ce stade beaucoup d'entre vous se diront que la petite balle de golf serait détruite mais... Il n'est rien, intact vous êtes toujours là.Pour l'instant je vais en rester là, mais gardez en mémoire cette partie de l'histoire je vous assure, elle aura plus tard son importance.

À une époque,  il n'y a pas de cela plusieurs années, dans une ville appelée Macao (bien sûr nom fictif) situé au cœur d'une forêt verdoyante bordé d'une rivière aux couleurs bleues turquoises, vivait une jeune femme que tout le monde appelait affectueusement Vice.
Cette femme c'est moi.
Je me présente on m'appelle Muileh Vice, je suis l'unique fille de la famille vice.Mon père est le général en chef des armées, un homme doté d'une grande fierté et d'un sens particulièrement aigu de la justice. Ma mère, elle était une ancienne prêtresse du sud de la ville, toujours souriante elle fessait toujours de son mieux pour respecter Dieu à travers beaucoup de rituel ses paroles sont toujours emplies d'une certaine sagesse.
Aussi loin que je me souvienne, j'avais un peu hérité du caractère autoritaire de mon père mais aussi du calme et de la bonté de ma mère. Ceci dit tout mon entourage s'accordait t'a dire que je tenais un peu trop de mon père.
Pour cause, j'étais toujours attiré  par les sports particulièrement de combat, les armes, et tout ce qui avait trait de prêt au de loin à la violence tandis que, d'autre part la cuisine, la couture n'était vraiment pas taillée pour moi.
Avec le temps la jeune fille grandit et devient une jeune femme ( Faut dire une sacré bonne femme) .
Je n'ai jamais eu à envier quelque chose ou quelqu'un, mon éducation, ma culture, mes privilèges et mon statut étaient mes plus grandes fiertés .
J'étais admiré, adulé, récompensé pour ma prestance ! je ne lâchais jamais rien, mon caractère me valut d'être surnommé Muileh la Dame de Fer.
Ma vie était mouvementée sans vraiment me déplaire, et pourtant un truc semblait manquer à ma vie. Au bout d'un moment, la vie en complicité avec le destin trouva une solution pour m'apprendre de force le sens du mot humilité.
La réalité, se présentait sous forme du devoir de toute jeune femme de trouver comme diraient mes parents: " un bon parti ".
Mon père et ma mère avaient décidé comme un accord, de me présenter des hommes issus de multiples grandes familles afin de me garantir un avenir prospère  (un accord tu parles, c'était plus un ultimatum. Mes parents passaient leurs journées à pourrir la mienne avec cette histoire)   J'avais réussi à esquiver la question pendant 3 ans jusqu'à mes 25 ans mais ce jour-là, il y avait pas moyen que j'y manque.
À ce moment de l'histoire vous, vous dites sûrement voici une nouvelle histoire d'amour mais détrompez-vous, ceci n'est pas une histoire d'amour. N'essayez pas de prédire la suite, moi même je ne l'a connais pas.

Des Histoires Habituelles (en réécriture) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant