Des Histoires Habituelles (en réécriture)

ACCALMIE Éclair ! Il y a de l'huile sur le feu.

(point de vue d'Oscar)
Avoc: Si je comprends bien, tu a une double personnalité. Ton alter ego que la jeune maîtresse a rencontré est Napoléon ta face fragile et timide tandis que toi, Oscar tu es une face froide et brutal.
Oscar: Disons que c'est à peu près sa.
Avoc: tu te manifeste quand Napoléon se sens en danger. Votre échange est surprenant, l'un bégaie et l'autre parle clairement mais avec une l'arrogance et une impolitesse peu commune.
Oscar : c'est que le pingouin costume cravate nous insulte en plus.
Avoc: Hmmm, en plus de ça tes yeux on changé.
Oscar : Bon, maintenant que les présentations sont faites et que tu m'a bien analysé, je vais prendre la route dans cette direction et toi tu va rester bien sage comme le bon petit larbin que tu es ok ?
Avoc: qui traite tu de larbin ? Et je ne me souviens pas que la jeune maîtresse t'es donné l'autorisation de partir.
Oscar : je me fiche bien d'elle et de son autorisation, je ne suis pas son chien ni un vulgaire subalterne comme toi.

Il va ce jeté sur moi, encore cette prise mais cette fois il va être surpris.

Oscar: alors le pingouin costume cravate, du mal à me plaqué au sol ?
Avoc: Pauvre idiots, tu crois vraiment que je ne maîtrise que cette prise, regarde bien la suite.

Il me donne un coup de coude dans le ventre, un autre sous le menton, j'arrive pas le croire j'ai encore perdu l'équilibre.

Avoc: judo voix de la souplesse plaquage !

Il m'a encore mis à terre pour la 2ème fois.

Avoc: tu es fort enfin physiquement, mais tu as du potentiel. Au niveau technique tu es bien loin m'égaler.

Il me tend la main

Avoc : relève toi jeune homme, tu as encore de la marge pour progresser.
Oscar : j'ai pas besoin de ton aide je peux encore me battre.
Avoc: Hmmm... Je te propose 2 choix. Le premier, tu continue de jeter sur moi jusqu'à ce que je brise tout les os ou que je brise ta volonté de combattre, ça sera très intéressant de voir entre ton esprit et ton corps lequel lâchera le plus vite. Le deuxième tu admet ta défaite aujourd'hui et je te ramène à la jeune maîtresse. Dans les deux cas je te ramènerait à la jeune maîtresse.
Oscar : tu peux garder ta pitié pour toi.
Nous abandonnons pas, avant la fin de ce combat nous mettrons notre poing dans ton visage.

Nous, nous jetons sur lui, encore, encore et encore. À chaque fois, nous tombons avec une telle facilité.
(1heure plus tard)
Nous croyons avoir des cotes cassées, le bras gauche est déboîté, la cheville droite tordue mais nous avons pas fini... Nous ne lui avons pas mis notre poing sur le visage.

Avoc: Moi Avoc, je reconnais que t'a volonté est d'acier. Jeune homme, vient je t'attend et j'espère que tu peux toujours tenir debout.
Oscar : t'occupe.

(Napoléon: Oscar, tu devrait changer de tactique, foncé vers lui ne t'avance à rien lâche prise.
Oscar : Nous pouvons pas abonnés, jamais
Napoléon: qui te dis d'abonnés laisse faire et tiens toi prêt.)

Avoc: (il ce relève encore.)
Napoléon: ma... Marc... Marche...
Avoc (il bégaie cela implique que c'est Napoléon qui a repris le contrôle, a-t-il abandonné ?)
Avoc : jeune homme tu abandonne ?
Napoléon: marche
Avoc:( il avance doucement vers moi, c'est fini sont corps ne répond plus, il avance que par la force de sa volonté. Quel homme remarquable, il est digne de l'intérêt que la jeunesse maîtresse porte sur lui.)
Napoléon: marche
Avoc: jeune homme, tu t'es battu courageusement et avec honneur n'est pas honte d'admettre t'a défaite.
Napoléon: stop
Avoc:( enfin il est revenu à la raison. Il tient quelque chose dans son poing. Il ouvre la paume il a lâcher une pierre)
Napoléon : Oscar...

(oscar: compris)

Oscar: mange moi ça !

Nous l'avons frappé nous avons réussi à le toucher.