Nous Sommes Deux En Un

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Le lendemain matin, les premiers rayons de soleil venait frapper à la fenêtre de ma chambre, tandis qu'une main douce et chaude caressait mon visage me procurant un sentiment de sécurité. Je me sentais si bien à ce moment que j'aurai voulu qu'ils durent éternellement. Enfin, après quelques instants je décide d'entre ouvrir mes paupières pour discrètement regarder qui dors à mes côtés. À peine j'eus le temps de les ouvrir, qu'une voix grave et masculine m'accueillit.
? : bonjour ma Princess
J'ouvre les paupières et je regard autour de moi, sur mon lit je vois ma mère qui dors ses bras me serrant, mon père quant à lui était assis de l'autre côté, en face de la fenêtre. Bien qu'il n'avait pas l'air d'avoir beaucoup dormi, il nous regardait d'une manière si particulière qu'on aurait cru qu'il voulait nous peindre sur une toile afin de nous regarder tous les jours.

Muileh: bonjour papa,
Papa: Bien dormi Princess ?
Disait-il avec un large sourire
Muileh :oui merci, ta veillée toute la nuit ?
Papa: il fait déjà jour ? Je m'en étais même vraiment rendu compte. Vous aviez l'air d'être si bien, je me suis pas lassé de vous regarder, pas un seul instant.
Muileh: Papa, arrête tu va me faire rougir. Et depuis quand tu es rentrée dans la poésie ? Sa te ressemble pas vraiment. Tu va saborder l'image de l'homme fort et parfois un peu trop maladroit que je connais
Papa: Ah bon ? Tu trouve, Hahaha, pas grave
Ma mère: faites moins de bruits il y a des gens qui essaie de dormir ici.

Je me retourne vers elle, je la regarde souriant de bonheur

Ma mère: Ma chérie, la poésie de ton père date d'il y a longtemps, t'aurai dû le voir lorsqu'il me fesait la cour ?
Muileh : Ah oui ?
Ma mère: Oui, la première fois que ton père me rencontra pendant que j'étais encore prêtresse dans le temple, ton père est venu pour soit disant ce laver de ces pêchées. Ce que je ne savais pas alors, c'est que le seule pêchée que ton père avait commis en rentrant dans ce temple c'est de m'aimer.

(Narration par Rachelle Vice)
Il passât la journée et la nuit assis dans le temple sans boire ni manger le lendemain matin lorsque je venais changer les offrandes je le retrouvais à sa même place entrain de parler à voix basse si bien qu'on distinguait que :'' pardonner moi... Pardonner moi... Prenez moi... Pitié venez à moi.. Je serai votre éternel esclaves... ''
J'étais si intrigué par les motivations de cette homme, au point que je pouvais plus tenir. Était-il malade ou priait t 'il pour quelqu'un de chère ? Pourquoi s'infliger une telle torture ?
Alors je décidais que pendant l'après-midi, dès que les prêtres iraient ce reposer j'irai le voir afin d'en avoir le cœur net.
Le moment venu je me suis avancé vers lui, afin de lui apporter de l'eau à boire et de quoi manger. Il leva la tête en me regardant, au moment où nos yeux ce croisa il baissa immédiatement la tête et ce remit à prier encore plus fort.
Je m'en souviens encore parfaitement, je lui es demandé pourquoi était-il entrain de prier limite implorer le seigneur ?
Alors ton père à ce moment là, arrête de prier et me regarde droit dans les yeux et me dit:

? :Je ne prie pas le seigneur pour exaucé un vœux et cela fait bien longtemps que je n'ai pas demandé pardon pour mes péchés ils sont bien trop nombreux et bien trop importants... Rachelle
Rachelle: alors pourquoi êtes vous ici si n'avez aucune prière ni souhait à formuler ? Et comment connaissez vous mon nom ? Je n'ai pas le souvenir de m'être présenter?
?: excusez moi, je manque totalement à mes obligations. Je me présente, je suis Charles Vice 1er fils héritiers de la noble famille Vice.
Rachelle: Et moi Rachelle, prêtresse du temple Lovercraft, orpheline et héritière des principes et des valeurs que mes parents m'ont légué ni plus ni moins.
Charles: il semble que mes paroles vous on offenser, veuillez excuser ma maladresse.
Rachelle: Loin de là, cela fait bien longtemps que je me suis fait à ma vie, je n'ai pas le choix, j'en ai pas une deuxième. Il est cependant regrettable de juger une personne ou estimé une personne au nom de sa famille ou à sa fortune familiale. j'ai appris par expérience que l'essentiel dans une vie, n'est pas ce qu'elle fait de nous mais ce que nous faisons avec ce que la vie à fait de nous. Vous devriez médité sur cette phrase. Étant donné que les présentations sont faites, vous pouvez me dire ce qui vous amène dans notre temple depuis deux jours. Si vous ne recherchez pas l'accord du seigneur pour un souhait que faites vous ici ?
Charles: Pour être tout à fait franc, je suis quand même venu dans l'espoir que le seigneur réalise un seul et unique vœux ? Et c'est pour cette unique et seule raison que j'étais prêt à mourir de faim
Rachelle: Et que pourrai bien pousser un homme de votre trempe à endurer tant de souffrance ?
Charles: je suis amoureux d'une femme, belle et sage, brillante, toujours aimable et serviable elle ne hésite pas à aider ce qui sont dans le besoin, elle me fait penser à l'étoile du berger qui guide ce qui sont perdus dans la nuit. Mais cette merveilleuse femme est dans les mains d'un être avec qui je ne peux lutter. Alors je suis venu ici pour prier qu'elle me donne l'occasion de lui prouver que je suis digne d'être l'homme de sa vie. Mais pour l'instant c'est assez compliqué...
Rachelle: je vois, je m'étais trompé sur votre compte on dirait, le seigneur répond et entend toutes les prières même si je suis sûr qu'il restera sourd à de telles sottises.
Charles: je ne suis partage votre avis sur la question ?
Rachelle: Ah bon ? Et qu'est ce qui vous fait dire le contraire ?
Charles: parce que vous êtes là, entrain de m'écouter attentivement. Disons qu'une moitié est accomplie reste l'autre moitié.
Rachelle: je ne vous suit plus ?
Charles: la femme belle sage serviable aimable chaleureuse qui me fait pensé à l'étoile du berger qui guide dans la froideur de la nuit et brille lorsque la lune elle même disparaît c'est vous. C'est de vous que je suis amoureux.

Des Histoires Habituelles (en réécriture) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant