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« Elle a aimé chez moi, ce que les autres ont détestés

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« Elle a aimé chez moi, ce que les autres ont détestés. »








Elle m'fixe droit dans les yeux. Elle m'donne tellement envie putain. J'ai envie de lui sauter dessus. J'en tremble.







J'la prend dans ma main et je la tourne dans tout les sens, j'veux cette putain de seringue piqué dans les veines mais j'me rapelle de ses mots ; « J'veux pas que le père de mon enfant soit un toxicomane qui oublie son prénom chaque soir »








J'me résout à la laisser tomber sur la moquette de la chambre, mes mains trembles de plus en plus. La fumette ne change plus rien. J'suis devenu un légume j'arrive à plus rien tenir entre mes mains.







Je m'allonge en caleçon dans mon lit, j'avais beaucoup trop chaud. La sueur perlait sur mon front et formait de petites goutes sur mes pectoraux.







Aïssa- Ça va passer Aïssa concentre toi, t'es pas un toxicomane. 








J'avais un mal de crâne immense, j'avais l'impression que j'allais m'évanouir. Finalement des petits coups retentissent sur la porte. J'crie à la personne de rentrer et j'vois Naïa entrer, un petit sourire aux lèvres.








Naïa- Aïssa, ça ne va pas ?








Je secoue la tête et j'me cache les yeux avec mes doigts. Elle accourt vers moi et pose sa main froide sur mon torse. A c'moment la j'sentais que j'allais pas tenir bien longtemps. J'me suis précipité aux toilettes pour vomir tout c'que j'avais dans l'estomac. Elle m'a rejoins peu de temps après pour balader doucement ses mains sur mon dos comme pour me rassurer.







Naïa- Qu'est ce qu'il t'arrive ?







J'fini d'me rincer la bouche et j'secoue doucement la tête.








Aïssa- Rien d'grave, t'inquiète.








J'rejoins mon lit en trainant des pieds et elle me suit de près.  Elle avait constamment ses mains en contact avec son ventre.









Naïa- Je peux faire quelque chose ? Dit moi Aïssa !








Aïssa- Nan, tu peux rien y faire.







Le fils du clochard- Aïssa TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant