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"C'est impossible, dit la fierté C'est risqué, dit l'expérience, C'est sans issue , dit la raison Essayons dit le coeur

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"C'est impossible, dit la fierté C'est risqué, dit l'expérience, C'est sans issue , dit la raison Essayons dit le coeur. "

Quelques jours sont passés, j'ai entendu dire que l'appart à été mis sous scellé. Reste juste à espérer qu'ils trouvent pas l'auteur de ce meurtre.  J'évite de trop sortir, Amar m'appel mais vaux mieux pas parler au téléphone.

J'essaie toujours de contacter Naïa, elle à peur de moi maintenant elle m'évite. J'repense à l'autre Jade aussi, sa s'peux qu'elle me balance.

J'envois un dernier message à Naïa avant de commencer mon cour. Sa m'casse les couilles tout sa.

NAÏA

Ce gars m'effraye, il a tué un homme. Il aurait pu le faire devant mes yeux. Des fois une folie me prend, j'ai envie d'aller tout balancer aux flics mais il reste une petite part de moi à l'intérieur qui m'en empêche. J'ai bien peur de m'être attaché à lui. Je suis une fille beaucoup trop sentimentale, j'ai le défaut de m'attacher trop facilement et de laisser transparaître mes sentiments.

Il me parle chaque jour mais je n'ai pas la force de répondre, quand j'y repense mes muscles se figent et les images de ce gars en sang me reviennent.

Pourquoi il a fallut que je croise son chemin, pourquoi il a fallut que je tombe sous son charme si dangereux ?

Depuis ce jour Jade ne parle presque plus, elle m'ignore et sa m'inquiète. Pas que je l'apprécie mais j'ai peur qu'elle en parle à quelqu'un.

La dernière heure sonne, je range mes affaires et je m'avance vers Jade qui m'ignore complètement et part en riant avec une fille de la classe.

Je m'empresse de sortir du collège, le temps de ranger mon carnet dans mon sac une masse plus imposante que la mienne se poste devant moi, je relève alors le regard et je croise celui de Aïssa. Il était la, les mains dans les poches.

Aïssa- J'peux te parler ?

Naïa- Laisse moi.

Je continue mon chemin mais il continu de me suivre, il m'effraye. Il m'attrape brusquement le bras et me retourne vers lui. Sa mâchoire carrée contracté me donnait l'impression qu'il était tendu.

Naïa- Écoute je balancerais rien au flics maintenant laisse moi.

Aïssa- J'suis pas venu la pour que tu me recale comme ça.

Le fils du clochard- Aïssa TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant