tribunal

2K 79 0
                                    

PDV Dimitri

Cassandre pleurait à chaude larmes. Je sentais le pire. Je voulus aller vers elle et la serrer dans mes bras mais je me fais recaler par deux policiers. La dame de ce matin vient devant nous un regard triste. Elle nous fais nous asseoir. Elle nous regarde souffle un bon coup et dit.

- Je suis au regret de vous annoncer que nous avons reçu des preuves incriminant Cassandre. Plusieurs témoins sont venus nous dire que Cassandre leur avait vendu de la drogue. Nous avons aussi retrouvé un sac lui appartenant dans une poubelle avec à l'intérieur plus sachez de drogue.

Nous commençons tous à pleurer. Nous croisons le regard perdu de Cassandre. Je décide d'aller la prendre dans mes bras. Cette fois si la dame donne l'autorisation. Elle pleure dans me bras. Elle s excuse, me regarde et me dit avec les larmes aux yeux.

- Promets moi de prendre soin Amélia quoi qu'il arrive. Je l'aime.

- Je te le promets.

Un sourire triste prend place sur son visage je sèche ses larmes avant que la belle blonde vient lui poser un délicat baiser sur ces lèvres. Elle s'excuse et Cassandre lui dit que ce n'est pas grave que ce n'est pas de sa faute. Je comprends pas vraiment leur discussion mais je trouve ça mignon. Les policiers embarquent Cassandre et l'emmènent en cellule.

PDV Nohémie

Cassandre part, une fois disparu de notre ligne de vue. La dame nous invite à la suivre. On entre dans la même salle que ce matin mais cette fois si triste et vide. Elle nous fait nous asseoir et commence à parler.

- Je vais vous expliquer ce qui va se passer maintenant pour votre amie. Elle sera en cellule du commissariat jusqu'à la date où elle doit passer devant le juge. Vous pouvez lui prendre un avocat si elle est d'accord vous pourrez témoigner en sa faveur ou contre elle et vous pourrez assister à son affaire. Jusqu'au jugement vous ne pourrez pas la voir, ni prendre contact avec elle. Vous avez de la chance elle sera jugée dans deux jours. En attendant reposez-vous car vu vos têtes vous ne pourrez pas l'aider comme ça. Elle a besoin de soutien.

- Merci madame, nous ne prendrons pas d'avocat car elle n'en veux pas. Prenez soin d'elle si vous plait.

Elle hoche positivement la tête et nous rentrons dans le silence à l'appartement. Amélia nous regarde tristement. Je lis sur ses yeux de la culpabilité. Elle nous regarde et nous dit.

- Je suis désolée, je voulais le stopper mais je n'ai pas réussi. C'est de ma faute je le savais j'aurais dû faire quelques choses.

Nous la serrons dans nos bras. Nous nous endormons bien vite sur le canapé. J'ai fermé le bar pour un certain temps car il ne peut pas tourner sans elle. Nous allons attendre son jugement à l'appartement.

PDV Cassandre

Je me sens seule et triste mais je ne changerais pas d'avis. Pour aucune raison je ne balancerais la femme de ma vie et son frère. Je préfère tomber seule. Je suis en train de marcher vers ma cellule dans laquelle j'avais passé la nuit et dans laquelle je passerais deux jours. Je ne redoute pas le tribunal. Je sais que je n'ai que de choix admettre ou nier et qu'il n'y a que deux issues innocent ou coupable. Je vois la gardienne et frémit. Je sens que ces deux jours vont être long. Je me couche sur le lit de ma cellule et par vite rejoindre Morphée.

" Ellipse de 2 jours "

Aujourd'hui est le grand jour. Je vais être jugé pour mon crime. C'est deux jours mon fait réfléchir. J'ai décidé d'être honnête et d'admettre mon crime pour espérer prendre moins cher. La policière m'emmène au tribunal où je vois mes potes. Je leur fis un sourire. Je sens deux lèvres se poser sur les miennes cela m'avait manquer. Nous sommes malheureusement séparé par ces connards. Je vois des gens rentrée dans la salle. Je ne savais pas que j'étais autant populaire. Je rentre à mon tour dans la salle. Je me dirige vers le banc des accusés. Je suis chanceuse une banane se trouve sur la table, avant que quelqu'un me la vole, je la dévore en quatrième vitesse. Le juge entre dans la salle nous nous levons pour le saluer puis nous nous rasseyons. Il commence à parler.

- Dossier 4325, accusée veuillez vous levez. Vous êtes aujourd'hui pour les motifs suivant. Trafic de drogue. Venez à la barre.

Je me dirige vers la barre. Cela ressemble à tout sauf une barre, mais me retiens de la partager de peur d'aggraver mon cas. Le juge reprend.

- Levez votre main droite. Jurer vous de dire la vérité et unique la vérité.

- Je le jure

- Bien, nous pouvons commencer. Avocat de la défense, c'est à vous.

Je vois un nain s'approcher de moi tellement il est petit, je suis obligé de me pencher au-dessus de la barre. Il me regarde, commence des allers retours et dit.

- Mademoiselle affirmé vous avoir vendu de la drogue ?

- Oui

- Avez-vous êtes forcé de le faire ?

- Non

- Alors pourquoi l'avoir fait ?

- Je ne sais pa vraiment moi même. Je ne suis pas vraiment une personne qui réfléchit. Mais je sais que je ne recommencerai pas.

- C'est bien de l'admettre. Avez-vous des complices ?

- Non je l'ai fait seule. J'ai trouvé un fournisseur à travers mon bar, mais je garderais son anonymat, car j'assume amplement mes fautes.

L'avocat me regarde sans mots. Il retourne s'asseoir. Le juge est aussi perplexe que lui. Il tousse et ne sait pas vraiment quoi dire. Ça bien dois être la première fois qu'un accusés avoue aussi facilement ces fautes. Je regarde mes amis et leurs fait signes que tout iras bien. Je les vois pleurer, mais je sais qu'ils comprennent pourquoi j'ai fait ça. Le juge et ses assistants partent délibéré. Pendant ce moment j'ai le droit de me dégourdir les jambes, c'est donc sans grande surprise que je saute dans le bras de ma belle blonde. Je n'en veux pas à son frère. Il a eu peur que dimdim tombe aussi ou est des problèmes. Je les enlace et leur explique qu'ils ne doivent pas lui en vouloir. J'embrasse ma belle Amélia. Je la caresse, la caline, sa douceur m'avait manqué. Me dire que je vais être séparé d'elle me brise le coeur. Mais je sais qu'avec mes deux potes, elle sera en sécurité. La cloche sonne signe que les jurés ont finis de délibérer.

L'amour imprévuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant