2 ~ Red Eyes

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Dans ce texte il y aura du gore.

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Encore une fois, elle sortait de chez elle, une dague coincée entre son jean et ses hanches. Son regard de sang scrutant le moindre mouvement, le moindre frémissement, même le plus subtil. Si elle percevait ne serait-ce que le piaillement d'un volatile quelconque, elle bondissait et le tuait d'un coup de dague bien placé. Ce n'était pas pour assouvir un désir ou un manque qu'elle tuait, mais pour le plaisir. Comme ce chat vicieux qui joue avec sa proie avant de l'achever. Mais elle ne se contentait pas de petits félins, de volatiles ou de rongeurs, elle tuait des hommes, des femmes et des enfants. Mais ce qu'elle préférait le plus, ce sont les adolescents. Elle les kidnappaient, les séquestraient et les torturaient jusqu'à la mort. Une mort lente et douloureuse. Voilà ce qu'elle leurs infligeait. Leurs briser les os un par un, retirer une petite parcelle de peau par-ci, par-là. Le plus plaisant était leurs cris. Leurs hurlements et leurs pleurs inutiles. Mais cela faisait sourire cette femme, appelée Red Eyes. Mais par qui ? Personne ne sais qui commettait ces meurtres et enlèvements. Elle était appelée comme ça par les témoins oculaires, qui ne voyaient que ses yeux. Deux iris écarlates et des pupilles dilatées à chaque fois que ses yeux rencontraient ceux d'une future victime apeurée à la vue de la lame aiguisée et ensanglantée de Red Eyes. Mais comment était-elle devenue une psychopathe ? Avec une mère alcoolique qui l'a battait et un père absent qui avait des tas d'histoire d'un soir. Alors elle les avait tués et vécue sa vie, seule,  sans personne. Le jour, ses iris prenaient une couleur d'un bleu envoûtant, un point fort pour attirer de nouvelles victimes chez elle sans problèmes. Elle avait déjà eu des affinités, et a faillit tombée amoureuse, mais elle refusait de montrer le moindre signe d'affection à l'égard de quelqu'un. Pas depuis que sa mère l'a frappée pour la première fois. Alors elle avait tuée ce garçon. C'était une perte inutile, certes, mais il avait séduit cette femme. Cette femme qui ne voulait plus de rien. Plus d'amour, plus d'amitiés. Simplement de la vengeance. En tuant tout ces innocents, elle se vengeait, en partie, d'une enfance désastreuse, mais le plaisir était vraiment la raison majeure de ces meurtres. Elle en était à sa quatre-vingtième victime, sans compter les animaux... Elle avait choisie une adolescente, une certaine Cindy Parker, elle avait dix-sept ans et était blonde au yeux bruns. Cette jeune fille comptait sortir ce soir, mais ne rentrerait jamais. Red Eyes attendait. Quand elle vu enfin Cindy, elle se mit derrière elle et l'a bâillonnait de sa main gauche, la lame de sa dague contre collée sur la jugulaire de l'adolescente.

- Un cri, et je te tranche la gorge.

Red Eyes souriait. Si cette fille savait ce qui l'attendait, elle crierait et supplierait de se faire trancher la gorge. Mais elle ne bougeait pas, sa respiration haletante. Red Eyes l'emmenait et l'enfermait dans sa cave, attachée à une chaise en acier. Le supplice de la chaise électrique. C'était une première, une toute nouvelle torture. Elle envoyait une décharge tandis que Cindy pleurait et hurlait. Red Eyes arrêtait la décharge et regardait sa victime dans les yeux. Ses iris rouges translucides faisait écarquiller les yeux à Cindy, et elle pleurait de plus belle. Red Eyes enfonçait la lame de sa dague dans l'épaule de Cindy et la faisait doucement glisser le long de son bras. Le sang coulait à flots. Elle arrachait la chaire de son bras à mains nues. Cindy en vomissait de douleur. Red Eyes riait et lacérait les cuisses de son jouet. Cindy n'était qu'un jouet au yeux de Red Eyes. Cindy faillit s'évanouir mais Red Eyes lui lacérait les joues pour qu'elle reste éveillée, à quoi bon la faire saigner si elle ne ressentait rien ? Toute la nuit, Red Eyes avait fait subir à Cindy des choses inhumaines : Arrachage de doigts, d'ongles, de dents.  Red Eyes allait même jusqu'à arracher les muscles de la jeune fille. Puis, son supplice fini. Elle chuchotait à l'oreille de son jouet à moitié mort : « Merci. » puis elle lui tranchait la gorge.

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C'est assez gore pour toi LaFilleQuiAttend ? Sinon je pourrais essayer de faire mieux ^^

Biiisouuus

Recueil de textesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant