Hotlands Troisième Partie

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Après être sortie de ce laboratoire horrifique, Frisk reprit son chemin, seule, errante et se questionnant sur elle-même. Était-ce réellement par simple instinct de survie qu'elle tua tout ces monstres ? Néanmoins, le message d'Alphys semblait avoir fonctionné, il n'y avait plus un seul bruit dans les environs. Juste quelques machineries et une ambiance de ville fantôme. En revenant sur son chemin, Frisk remarqua que pas mal de pièges étaient actionnées. Elle vit une rangée de lasers, des lasers bleu qui s'allumaient et s'éteignaient et des lasers oranges qui restaient statiques. Frisk lança des petits cailloux pour voir si ces lasers étaient dangereux. Les cailloux qui s'arrêtaient aux lasers oranges étaient désintégrés et ceux qui traversaient les lasers bleus l'étaient aussi. Frisk en tira en conclusion que les lasers oranges ne faisaient rien si on ne s'arrête pas en les traversant et que les lasers bleus ne faisaient rien si on ne bougeaient pas pendant qu'on serait à l'intérieur. Appliquant ce qu'elle venait d'apprendre, Frisk passa sans difficulté le chemin rempli de lasers. Quelques mètres plus tard, une intersection s'offrit à Frisk, le chemin du Nord dissimulait, à son bout, une porte avec deux lumières éteintes. Par simple esprit de déduction, Frisk décida d'aller au chemin de droite puis de gauche. Il y avait, au chemin de droite, un dispositif, qui ressemblait plus à un jeu d'arcade qu'à un réel dispositif, où il fallait faire bouger des blocs pour avoir un champs libre pour tirer sur une cible. Rien de bien compliqué pour l'instant. Il y avait un petit ''félicitations'' quand Frisk eut fini le puzzle de droite. À gauche, il y avait le même genre mais un peu plus compliqué. Mais rien d'extravagant pour l'instant. La porte enfin ouverte, un nouveau chemin se profilait pour Frisk. Au bout de cette voie se trouvait un nouvel obstacle. Deux gardes royaux se trouvait devant Frisk pour l'arrêter.

-... Tu es ici, dit le premier garde d'un air solennelle.

-Si tu es ici, ça veut qu'Undyne... elle...

-Undyne ! Nous allons te venger !, dirent les gardes en même temps. Ils avaient l'air si sur d'eux à cet instant. Les gardes étaient forts. Ils faisaient, tout les deux, des attaques coordonnées, pendant que l'un attaquait en rafale, l'autre attaqua par derrière. Frisk eut de la peine à esquiver ou même attaquer.

-Tu n'en sortira pas vivante, dit le deuxième garde déterminé. Leurs étaient de plus en plus rapides mais de moins en moins coordonnées. La colère et le désire de vengeance leur ont faire perdre le rythme. Lorsque que le premier garde attaqua Frisk, elle se baissa et par mégarde, le garde tua son collègue d'un certes sec, mais involontaire.

-Collègue ! Tu..., cria le garde d'un tellement désespéré. La tristesse l'envahissait. Il attaquait toujours certes, mais ses attaques étaient prévisibles, faibles et sans effet. Cet alors que Frisk tua le garde restant d'un coup sans aucune émotions. Les deux gardes disparurent et laissèrent derrière eux que de la poussière. Après son combat, Frisk marcha vers une série de jet de vapeur qui l'a propulsa en avant. Elle trouva un plateau télé avec un décor de cuisine. Ce décor devait sûrement appartenir à Mettaton. Étrangement, il n'était pas là. Il a du fuir avec Alphys. Cependant, Frisk devait bien continuer son chemin, pour une quelconque raison... Après avoir prit un ascenseur, la voilà au deuxième étage de droite des Hotlands. Et la revoici avec une nouvelle série de lasers, mais pour rendre la chose encore plus difficile, elle faire les traverser sur un tapis roulant. Toujours rien d'extrêmement difficile pour Frisk, pour l'instant. Une fois la série de lasers franchie, la voilà devant une vrai énigme. Un gigantesque damier de jet de vapeur avec des interrupteurs qui changeaient leurs directions. Enfin quelque chose de difficile pour une fois. Après de longues minutes de recherches à trouver la solution de cette énigme, Frisk, en plus d'avoir la nausée à cause des jets répétés, eu assez avec cette énigme. Elle s'énerva quelques instants et vit que la solution était idiote. Il fallait juste retourner en arrière avant la fin et le chemin se faisait tout seul. Ce n'était pas si dure au final. Après une longue marche où il n'y avait rien d'intrigant, Frisk arriva encore dans un espèce de décor qui devait sûrement appartenir à Mettaton. Il y avait des objets au sol, ils devaient probablement servir à déclencher un événement lié à Mettaton. Au sol subsistait un ballon de basket avec écrit en tout petit ''Fait pour être porté, pas pour jouer avec'', un verre d'eau tout ce qu'il y a plus ordinaire, un script du prochain film tant attendue de Mettaton ''Mettaton le film XXVII'' avec en acteur principal, Mettaton. Le scénario consistait à voir des pétales de fleurs pleuvoir sur Mettaton pendant 4 heures. Ça serait sûrement un bon film. Il y avait aussi un chien blanc qui semblait dormir si profondément qu'il serait impossible à réveiller, il y avait également un cadeau classique, et un livre intitulé ''Les épines de la souffrance''. Wow on dirait un livre génial, écrit par Sami Alves, le grand auteur. Si j'étais vous je lirais le livre en entier pour lui témoigner une marque de respect. Bref, ces objets ne serviraient à rien pour Frisk de toute façon, à part le livre bien évidemment. Elle repartit de si tôt, malgré le faite qu'elle entendait des tics tacs venant des objets. C'était probablement dans sa tête. Après avoir pris un deuxième ascenseur, elle se trouva devant un stand de donut. Ce stand lui rappela quelque chose, le stand de donut de Muffet évidemment ! Étant donné qu'il n'y avait personne pour faire office de vendeur, elle décida de piquer un donut et de partir. Devant elle, se profilait un nouveau damier de jet de vapeur. Mais cette fois ça n'était pas une énigme, juste une intersection. Comme une des salles qu'elle avait visité auparavant, il fallait résoudre deux énigmes pour ouvrir une porte. Les énigmes étaient les presque les mêmes, à une exception près, elles étaient beaucoup plus dur ! Certes c'était encore ces dispositifs qui ressemblaient plus à des jeux d'arcade qu'à des vrais dispositifs mais leur difficulté à grimpé en flèche ! Après de longues heures, elle réussit enfin à résoudre ces satanées énigmes et continua son chemin, qui commença à devenir long, à se demander comment elle pouvait autant marcher sans se fatiguer. Elle entra dans une salle pleine de toile d'araignée. On pouvait observer des araignées en train de tisser des toiles juste à quelques mètres de d'elle. À peine quelques secondes après son arrivée, quelqu'un chuchota des phrases sur Frisk pendant qu'elle marchait.

Les épines de la souffrance (de l'idée original de ヤンデレ)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant