Le matin je souffre quand je me lève,
Je sors doucement de mes rêves,
Qui me ramènent à tes côtés,
Quand t'étais la reine de mes pensées.
La seule qui pouvait faire de moi un roi,
Une personne heureuse épanouie,
Sans aucunes limites et interdits,
Ma fée, je ne vivais que pour toi.
Tu venais essuyais mes larmes,
Quand je te contais mes drames.
Tu m'avais offert les armes,
Pour donner vie à mon corps blâme.
Tu m'as redonné le sourire,
Tu m'as montré qu'il y avait pire,
Que faire sa vie au près d'une fille,
Et être heureux les yeux qui brillent.
Mon visage avait retrouvé sa lumière,
Mon cœur criblé a retrouvé son remède,
Mon âme noire est redevenue si fière,
Jusqu'au jour où on a crié à l'aide..
Je me suis retourné tu avais cette brise,
Dans tes cheveux, allongée sur le pare-brise,
D'une femme morte sur le choc sous l'emprise,
D'amour, et de choses qui ne cicatrisent,
La mort est devenue si créative,
Elle tue de manière si brève et vive,
Que mon cœur abasourdi par la crise,
Se montre à elle pour qu'elle le vise.
Notre union arrachée, notre union déchirée,
Tu m'as relevé, je te suivrais à jamais,
Tu as fait de moi un homme heureux un homme ivre,
Car l'amour à tous est notre seule raison de vivre.
Le Rêveur Inutile.
