Alpha Omega

Chapitre 10

Bonjour joli petit ragondin veut-tu lécher mon œsophage.....

Heum désolé commençons

PS :non je ne parlerais pas du retard 😅

Olivier s'assit sur le sol froid afin d'essayer de digérer tout ce qu'il venait d'apprendre. Clotide se baissa et l'enlaçât en lui chuchotant:

-"C'est pas grave on vas s'en sortir."

-" Mais au moins tu sais comment la libérer ? Cria t-il ,C'est un fantôme ce n'est même pas sensé exister! Merde !"

Clotilde le regarda dans les yeux sans répondre ,vexé. Ils restèrent ainsi de longue secondes puis Olivier repris plus calmement.

-"Désolé , je panique mais ce n'est pas de ta faute. Je n'aurait pas du te crier dessus "

-" Ce n'est pas grave tu as toutes les raisons possibles pour paniquer. Mais pour répondre à ta question , oui je sais comment la libérer .."

-" COMMENT ?...reprend "

Clotilde rentra dans un fou rire incontrôlable tandis que Olivier la regardait très attentivement attendant impatiemment sa réponse. Elle se reprit et répondit :

-"C'est que tu as une tête très drôle ! Désolé ... Pour la libérer il suffit que l'on trouve l'endroit exact où est emmuré son cadavre afin que je puisse libérer son âme du monde des vivants."

-" Mais on ne sait pas où il est. On reste mal."

-" Ne t'en fais pas il nous suffit de communiquer avec le fantôme grâce a un Ouija .

-"Mais tu es trop bizarre les Ouija ne sont qu'une superstition ils ne fonctionnent pas ."

-" Je te rappelle que les fantômes existent donc les Ouija fonctionnent. "

Ils commencèrent donc a fabriquer avec les moyens du bord un Ouija en éprouvant une très forte anxiété .

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Athénaïs en compagnie des deux mercenaires était en train de mettre en place leur campement pour la nuit quand soudain,alors qu'elle essayait depuis vingt bonnes minutes d'allumer un feu , quelqu'un lui chuchota à l'oreille :

-" On dirait que tu as besoin d'aide Mildred. "

Athénaïs sursauta en poussant un cri suraiguë et se retourna pour voir à sa plus grande surprise un Arthur plié en deux ,incapable de s'arrêter de rire. Athénaïs un peu vexée  lui donna une petite tape sur l'épaule en lui disant :

-" Tu n'est pas sérieux, tu m'a fait vraiment fait peur ! N'arrive pas derriere moi comme ça sans faire de bruit. "

-" Désolé mais il vas falloir t'y habituer car chez les mercenaires on nous apprend à ne pas faire de bruits et à ne pas se faire voir depuis l'enfance. Je venais juste voir si tu avait besoin d'aide. "

-" Un peu d'aide ne serait pas de refut, car moi je ne suis pas une psychopathe qui s'amuse à faire peur aux gens et qui apprend à faire du feu sans rien depuis son enfance. "dit-elle en rigolant.

Arthur fit une moue vexée et dit :

-" Je vais finir par être vraiment blessé. Allez , laisse moi ta place je vais te montrer comment faire."

Ils passèrent le reste de la soiré à rigoler en délaissant un peu Audren . Athénaïs réussit presque à oublier tout ses problèmes et commença à se dire que Arthur était très gentil et qu'ils pourraient bien devenir amis .

Le lendemain, quand Athénaïs se réveilla, le campement était déjà rangé et elle dut se dépêcher de se préparer si elle ne voulait pas qu' Audren et Arthur partent sans elle . Ils marchèrent toute la matinée en direction d'une ville qui s'appelait Sobibor d'après Audren ,et y arrivèrent en début d'après midi . Sobibor ressemblait plus à un grand village de campagne qu'à une ville mais elle était entourée d'un mur haut de deux mètres, qui laissait apercevoir le toit de quelques maisons, et semblait être très récent comme si les habitants avaient été obligés de le construire en vu d'une menace proche . Dès que les trois compagnons franchirent les portes de la ville, un habitant vient vers eux et leur dit méchamment :

-" Les étrangers ne sont pas les bienvenus ici , revenez d'où vous venez tout de suite et vous n'aurez aucun problèmes "

Arthur s'approcha de l'homme et lui chuchota quelque chose à l'oreille et tandis que l'homme palissait le sourire féroce d'Arthur s'agrandissait .L'habitant tout d'un coup beaucoup plus poli invita les jeunes gens à le suivre dans un dédale de rues sombres . Athénaïs n'eut même pas le courage de demander à Arthur ce qu'il avait dit trop effrayé par ce qu'il aurait pu répondre . Ils rentrèrent finalement dans une maison totalement banale de l'extérieur mais très luxueuse de l'intérieur . On les amena dans une salle à manger orné de sculptures de l'Antiquité à chaque coin et ,au milieu , une immense table pour au moins quarante personnes . Au bout de la table un vieillard ,d'au moins quatre-vingt dix ans  était assit sur une sorte de trône et était entouré de dix hommes et femmes du même age .Arthur et Audren s'assirent directement voulant commencer le plus vite possible ,alors que Athénaïs les suivait en essayant de se faire la plus discrète possible . Arthur pris la parole d'une voix forte et assurée :

-" Où est Athénaïs Leplet ? "

Le vieillard choqué par une tel impolitesse cria :

-" Tu ne peut pas te permettre d'être impoli ! Tu te trouve devant le chef d'une ville très respectée et tu n'est qu'un gosse . Tu arrive dans ma ville, tu terrorises mes hommes juste pour demander où se trouve une fille que personne ne connait . Et dès que tu me parles, tu ne t'excuses de rien ! Mais sache que tu ne me fais pas peur donc reviens d'où tu viens, enfant mal élevé "

Le concerné se leva, s'approcha du vieillard et dit d'une voix tellement neutre qu'elle ferait peur:

-" Vous n'aurez pas dû me tutoyer . "

Le chef se rendit compte de son erreur et commença a bafouiller des excuses mais il était trop tard . Arthur sortit un fin poignard de sa manche et arborant un sourire fou il lui trancha la gorge d'un geste souple et bien placé. Le sang gicla sur son visage et l'assassin s'humidifia les lèvres en se tournant vers l'assemblé de vieillards apeurés retranchés dans un coin de la pièces . Ils se battaient du mieux qu'ils pouvaient afin d'avoir la place la plus éloigné possible de l'homme tâché de sang . Il commença à s'approcher de ses prochaines proies en se délectant du spectacle de chaos qu'il voyait . Plus il s'approchait plus le désordre augmentait . Il était enfin à la distance de tuer . Le sang sortit des artères des thorax et de toute les veines touchées par la lame déjà rouge pendant que les cris formaient une mélodie des plus joyeuses pour le tueur . Bientôt , le flux vermeil répandu sur les murs s'arrêta de couler et les cris se turent pour laisser place à la seule respiration des trois derniers êtres vivants dans la pièce . Le beau jeune homme tâché de rouge se retourna pour regarder la jeune fille terrorisée et lui fit un sourire joyeux .

Voilà c'est finit j'ai essayé de faire quelque chose de long pour excuser mon retard et désolé si c'est un peu glauque mais comme ça Athénaïs ne finira pas avec Arthur (Maumau : Comme par hasard, j'essaye de mettre un peu d'amour et de paix dans ce monde de brutes et tu détruis tout ). Et désolé si il y a des fautes d'orthographes . La prochaine c'est Ananas mais ne vous en faites pas je reviens bientôt .