Rien trouvé, il n'a rien trouvé chez les Wardogs. Le général du Steel ne dit rien savoir. il ne me reste plus que la tour noire, ou autre chose. Le Maire m'a envoyé les rapports d'activité de la ville. Géol a acheté des hangars dans le nord de la ville. Il y a plusieurs meurtres qui lui sont attribués...Merde tout ces attentats...il y en a forcément qui ne sont pas de lui, pourtant il ne les nie pas. Il n'en a pas besoin, il est occupé...ou il est vraiment Taré. Il y a quoi dans ces hangars ?
-Monsieur Joe Peter ? Dit alors Marthe en m'apportant un café et des gâteaux. Je déteste le café, ça fait deux ans qu'elle m'en prépare et je suis toujours obligé de lui rappeler.
-Les gâteaux sans le café, apportez moi un thé plutôt.
-Oui monsieur Joe Peter.
Elle posa les gâteaux sur mon bureau et sortit de la pièce.
-Et arrêtez de m'appeler Monsieur Joe Peter, appelez moi juste monsieur.
ça aussi elle l'oublie toujours.
-Oui monsieur Joe Peter.
On dirait un téléfilm comique mal réalisé. Je prend un des gâteaux et le goûte. Marthe a beau perdre la mémoire, elle fait de délicieux gâteaux, un vrai cordon-bleu.
Tient, un homme est rentré dans l'hôtel, quel air noir...avec son masque et sa valise. Une valise ? elle n'est pas adaptée au voyage et a une tête de chat noir sur le coté. Il a posé la valise dans un coin et sort. Aucun garde ne l'a arrêté ? Incompétent, il faut tout faire soit même en ce monde. Vite, je sors de mon bureau et cours dans le couloir. J'esquive de justesse Marthe qui m'apportait Mon thé.
-Pardon Madame Martin.
-Ou allez vous Monsieur Joe Peter?
-Empêcher une catastrophe et en provoquer une ailleurs.
Je me dépêche de trouver la valise et de sortir dehors. Les gens dans l'hôtel me regardent avec des grand yeux, ils ne doivent pas s'attendre à ce que le millionnaire altruiste et supposément calme s'enfuit et s'envole avec deux ailes aussi blanches que le soleil avec une valise dans les mains. La ville est belle d'en haut mais je n'ai pas le temps d'admirer la vue. Je fonce vers la tour noire.
J'entend le tic-tac de la bombe qui s'accélère, je la vois. Elle est si proche et si loin. Je peux y arriver, Je vais y arriver !
Le tic-tac s'est arrêté, je n'entends plus le vent dans mes oreilles. Quel imbécile! J'aurais dû demander à quelqu'un d'autre de le faire, j'ai des tonnes d'employés mais il a fallu que j'y aille moi même. Pourquoi j'ai tenté un truc aussi débile ? Il aurait mieux valu ne rien faire, lancer la valise dans la rue ou dans un endroit sur.
Maintenant je tombe, je vais mourir, si jeune. Il faut dire que tout arrive si vite dans ma vie, prix Nobel de Chimie à 22 ans, celui de Physique à 25 ans et enfin celui de la paix à 27 ans. On parle de moi comme du plus grand génie de tout les temps alors que je n'ai que 30 ans. En bas les gens doivent voir la fin d'un ange.....J'ai vraiment l'impression de mourir trop tôt dans une histoire. C'est nul...Je refuse de mourir maintenant !
Mes aile se tendent pour me ralentir, je tombe dessus....J'ai mal, trop pour bouger. Mon propre cri me perce les tympans. Mes ailes sont brisées....J'ai mal....Je suis en vie.
Un homme plus blanc que les ailes de Joe regarde le ciel.
-s'il s se mettent à jeter des grenades en l'air maintenant....
l'homme se retourne puis se dirige vers le casino.
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Welcome in Gracyville
Science FictionDans un monde ou les virus transforme les hommes en hybrides, une petite ville est à la merci des affrontements entre les différent groupuscules