Retour à la vraie vie

Chapitre 23: Evelyne

Pendant plusieurs jours, Lucie et son groupe ne se pas venues m'embêter et, ne mon même pas adressées un regard. Je trouve sa bizarre mais je me dit qu'elles ont vues les infos sur mon père. D'ailleurs, ma mère m'a harcelée sur mon téléphone pendant trois jours, en me demandant des explications. Je l'ai ignorée et j'ai profité d'Oli et Flo pendant pas mal d'heures. Mais, il fallait que quelque chose d'horrible arrive entre temps. Ma tante a un cancer et à très peu de chance de survie, se qui fait que je reste à son chevet toute la journée. A certains moments, quand elle est vraiment pas bien, on sèche les cours avec Olivio et on va la voir. Je veux pas la perdre, c'est ma seule vraie famille, je ne supporterai pas sa perte. Quand j'étais encore à Toulouse étant petite, c'est elle qui nous a le plus éduquées avec Maria. Nos parents travaillaient beaucoup trop et nous mettaient toujours chez elle. Un soupir de tristesse s'échappe de ma bouche pendant qu'Oli met sa main sur ma cuisse. Je tourne mon regard vers lui et pose ma tête contre son torse alors qu'il me caresse les cheveux. Nous sommes dans la salle d'attente à l'hôpital, Evelyne a fait une crise et est dans un état critique. Une infirmière vient à notre rencontre et nous dit que ma tante et plongée dans un coma artificiel. Une larme coule sur ma joue, pourquoi la vie veux me rendre malheureuse ? Evelyne est l'être le plus chère à mes yeux avec Oli et Flo. Serte, je n'étais pas toujours à la maison et je parle plus des frères mais, je suis toujours près d'elle quand elle en a besoin. Je me lève et suis l'infirmière qui nous guide jusqu'à la chambre de ma tante. On entre et, je ne peux m'empêcher d'éclater en sanglots en voyant son état. Elle a des tuyaux dans le nez et dans le poignet. Olivio me prend dans ses bras et me chuchote des mots rassurants a l'oreille en me caressant les cheveux.

"-Je... Je veux... Veux pas que... Qu'elle meure... Je... Veux pas la... La perdre..." Dis-je difficilement en nichant ma tête contre son torse.

"-Calme toi ma princesse, je suis sûr qu'elle va s'en sortir." Dit-il en m'embrassant le front et en caressant ma joue.

C'est vraie que c'est une combattante, elle a survécue à un accident de voiture grave et c'est remise d'un précédent cancer. Mais là, je doute, elle a un poux bas et à du mal à respirer mais, un miracle peut toujours arriver. Je relève la tête et il me souri en me caressant les joues pour enlever mes larmes. Il m'embrasse tendrement en mettant ses mains sur mes hanches avant qu'on se sépare et que j'aille voir ma tante. Je lui pris la main et regarde son visage de longues minutes. Oli pose sa main sur mon épaule et me regarde avec espoir. Je souri après avoir embrassée le front de ma tante et de sortir de la chambre. Je pris la main d'Olivio et entrelaça nos doigts en partant de l'hôpital. Flo nous attend dehors, adossé au mur du bâtiment. Il nous regarde et nous souri tristement avant qu'ont aillent dans sa voiture. Il me dépose et rentre chez eux. Je monte rapidement les marche et appelle Edwige. Il vient me voir en courant et je nous enferme dans ma chambre en le prenant dans mes bras. Je pleure toutes les larmes de mon corps avant de m'endormir contre mon chien.