Chapitre 36: Quel gamin...

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Rentrée chez moi, je décide d'appeler Olivio, même si je sais qu'il va être surexcité. Je pris d'abord un fruit et j'alla dans ma chambre avant de m'asseoir sur le lit. Mon téléphone en mains, j'allais appeler Oli mais celui-ci fut plus rapide que moi. Je rigole et décroche alors que je l'entends déjà poser plusieurs questions.

"-Wow calme toi Ordonez, on a tout notre temps pour parler." Dis-je en riant.

"-Nia nia nia... J'ai pas tout mon temps moi ! Je doit voir la plus belle fille du monde dans moins d'une heure." Dit-il en riant aussi.

"-Et qui est cette fille ? J'espère que c'est pas une connasse !"

"-Et ! Dit pas de gros mots, il peut t'entendre de la où il est tu sais ?" Dit-il soudainement plus sérieux.

"-Ça va Oli... Sa fais trois mois qu'il est là seulement... Il va pas comprendre... Bon... Tu voulais dire quoi ?"

"-Nan rien, je vais venir, sa va être plus simple comme sa." Dit-il.

Je sourie et il raccroche alors que moi, je regarde attentivement mon ventre en le caressant du bout des doigts. Me dire qu'un petit être vis en moi me fait rire mais je pense à la suite, si on va réussir à le gérer ou pas cet enfant. Mais se qui me fait le plus mal, c'est de me dire que peut-être avec Olivio on va rompre dans quelques années et qu'il devra vivre une semaine sur deux chez moi puis chez son père. Je secoue la tête et m'enlève ces tristes idées de la tête pendant que j'entends Evelyne me crier de descendre pour voir mon "prince charmant". Je descend à vive allure et saute dans les bras de mon petit ami. Il semble surpris mais me sert contre lui en m'embrassant tendrement.

"-Pourquoi tant d'affection ?" Me demande-t-il avec un petit rire.

"-Parce que je t'aime." Dis-je avant de l'embrasser en l'emmenant dans ma chambre.

On se pose sur le lit et je vois bien que Olivio n'arrête pas de regarder mon ventre. Je lui caresse les cheveux et lui explique se qu'il c'est passer, sans dire le sexe de l'enfant pour l'embêter.

"-Nan moi je veux plus savoir, je veux une surprise... Mais dans quelques mois je veux bien savoir si c'est un petit mec ou pas." Dit-il en souriant.

"-Mais c'est plus une surprise du coup ! T'es vraiment pas logique mon ange !" Dis-je en riant alors que lui me donne une petite tape sur l'épaule avant de bouder comme un enfant.

J'essaie de lui faire un bisou mais il tourne la tête et j'embrasse sa joue sans le vouloir. Un petit sourire en coin apparaît sur mon visage alors que je commence une bataille de chatouilles. Il éclate de rire en essayant de se débattre mais je met tout mon poids sur lui, il est donc "prisonnier". Je continue mes chatouille jusqu'à se qu'un coussin m'atterrisse sur le crâne. Je relève la tête vers le visage d'Oli et je vois qu'il a un petit sourire sur le coin des lèvres. Je dégluti et me leva précipitamment en courant dans toute la maison, mon copain à mes trousses avec un oreiller. Je sortie dans le jardin et m'enferma dans la petite cabane pendant qu'il me cherche encore dans la maison. Je soupire de soulagement en me laissant glisser sur la porte en reprenant mon souffle. J'entendis des pas dans le jardin et je bloqua ma respiration par reflex. Soudain, un liquide glacée me tomba sur la tête, se qui me fait relevée d'un bon. Ce con avait ouvert la petite fenêtre sur la porte et m'avait verser de l'eau glacée. Il rigole et je sors de la cabane en passant devant lui et en faisant semblant de l'ignorer.

"-Rhoo... T'es pas drôle ma belle." Dit-il en riant et en me prenant la main.

Je lui tire la langue et il me ramène dans ma chambre pour me changer.
Je me met dos à lui et enlève mon teeshirt en voulant en prendre un autre mais des mains brûlantes se mirent sur mes hanches.

"-Pourquoi tu reste pas comme sa ? Tu es très bien." Me chuchote-t-il à mon oreille.

Je frissonne et me retourne vers lui avant de l'embrasser. Il me caresse tout le dos mais je le repousse gentiment. J'ai pas vraiment la tête à faire l'amour, je suis plus en état de stresse et d'épuisement total.
Il me sourit et me dépose doucement sur le lit en voyant que je suis crevée.

"-Dors ma princesse, tu en a besoin." Dit-il en se mettant en teeshirt et caleçon et en s'allongeant à côté de moi avant que je pose ma tête sur son torse.

Il me caresse les cheveux en me chantonnant une chanson calme. Sa voix me transporte dans un autre monde. Le monde onirique m'ouvre ses portes et je le rejoins, trop fatiguée pour restée dans la vraie vie.

Retour à la vraie vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant