La vie n'est qu'une mort lente.

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-"J'croyais qu'on avait rien à craindre, mais sa c'est fait en 30 secondes."-

Amel.

J'étais sous le choc, écroulée au sol. J'me demandais pouquoi ? Pourquoi lui ? Je pleurais du sang, je ne pouvais me relever. C'est donc la fin pour ce petit homme. Il n'avait encore rien vue de la vie.
Je pleurais, criais, quand quelqu'un me sors de mes pensées.

? : Ça va ?!
Moi : J'ai... J'ai l'air d'aller bien ta mère ?

C'était une fille, elle avait l'air si naïve, mais j'men bats les couilles. La seule chose à laquelle je pense maintenant c'est mon frère. Putain.

? : Au moins c'est clair... Tu... J'te ramène quelque part ?
Moi: *souffle* À l'hôpital. Steup'...
? : Euh ouais. Monte.

[...]

Médecin : La voiture qui à foncée sur votre frère la propulsé trop loin, ce qui à causé un grand choc à la tête de votre frère et une énorme perte de sang. Je suis désolé, nous avons tout essayer pour le ramener à la vie. Toutes mes condoléances madame, messieurs.

Cette phrase...

Il disait sa avec un regard de tristesse, il avait même les yeux qui briller.

Je n'ai eu le temps de rien dire que je me suis écroulée au sol. Mon frère, Djylan. Il est mort. Il a rejoins mes parents ? Je... Allah y rahmo.

Amine.

Médecin : La voiture qui à foncée sur votre frère, la propulsé trop loin, ce qui à causé un grand choc à la tête de votre frère et une énorme perte de sang. Je suis désolé, nous avons tout essayer pour le ramener à la vie. Toutes mes condoléances madame, messieurs.

Putain, la putain de ses morts. Voilà tout c'que j'ai à dire putain.
Sans m'en rendre compte, j'pleure.

J'me tourne vers Djibril qui a la tête sur le bureau du docteur, ses larmes tombent au sol. Bizarrement y'a Amel qui regarde le docteur les yeux écarquillés.
D'un coup elle tombe au sol.

Médecin : *crie* Elle s'est évanouie ! Charlenne ! Venez la prendre vite !

Nous, on réagissait pas faut déja qu'un se réveille pour que l'autre meurt ?

[...]

Moi : Djibril ?
:...
Moi :...
Djibril : Allah y rahmo, c'est... C'est d'ma faute. Je sais.
Moi : *crie* ARRÊTE DE DIRE SA ZEBI C'EST LA VIE ! PUTAIN T'ARRÊTE DE DIRE C'EST DE TA FAUTE ! ET ELLE ELLE SE RÉVEILLE OU ELLE EST DECIDÉE À FAIRE UNE SIESTE ?
Djibril : Mais... Smeh...
Moi : Non, c'est R j'ménèrve seul mais... C'est pas d'ta faute ! J'y arrive pas, il est mort putain. Il s'en sortira pas comme sa ce fils de pute.. Non.
Djibril : Arrête ! Putain vos histoires de vengeance ça va vous ramener que d'la D ! T'es con ou quoi ?
? : J'ai soif.
Moi : Bouge pas j'vais te chercher sa...
Amel : Ah parce que j'ai une dégaine à pouvoir bouger ?
Djibril : *léger sourire*
Amel : C'était un rêve ?

Omniscient.

Elle reprit ces pleures de plus belles, personne ici n'arrivait à croire que Djylan, le rayon de Soleil de leur vie est mort, il rigolait tout le temps, il bougeait tout le temps, c'était Djylan.

Personne n'arrivais à dire le prénom de ce petit être suivie de "Allah Y rahmo".

Safir avait apprit la nouvelle, lui aussi était sonner mais sa ne lui faisait pas plus qu'un pincement au cœur. Il avait des doutes, car en pleine extase sur son joint à 260 km/h il avait renverser quelqu'un mais "C'est pas moi t'façon et même si c'est moi y'a quoi ?" Marmonna-t'il en finissant sa bouteille de Jack'.

Il pensait encore au "viol" d'Amel,
"J'suis baisé dans ma tête ! Pourquoi j'ai fais sa putain ! ET LUI POURQUOI SON NUMÉRO EST PLUS ATTRIBUER PUTAIN ?!"
Ô Safir si tu savais.

Amel.