La vie n'est qu'une mort lente.

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-"Prête à faire la guerre à tout les humains du monde."-

Amel.

-23h59.

J'avais pas fais le deuil de mon frère, j'avais arrêter de travailler. Ce putain de "travail" qui casse les couilles à tout le monde, aveuglé par l'argent et par la vengeance voilà c'que je suis devenue.

D'ailleurs, j'ai chercher à savoir qui avait tuer mon frère, et j'ai trouvée. Rire

Et voilà que je deviens folle, déjà qu'avant j'avais des doutes sur ma stabilité mentale, alors maintenant...

Omniscient.

En ce moment même, Amel était assise sur une chaise dans une ruelle sombre. Elle ressemblait étrangement à un zombie, cernée, mince et toute pâle. Prête à tuer la première personne qui passait. Surtout celle qui occupait jours et nuits son esprit. Celle qui avait tuer « malencontreusement » son frère adorée.

Amine lui était allonger dans son lit, depuis le drame il ne fait que cauchemarder cette "putain" de scène. "Chienne de vie" se dit-il en ce moment même.

Djibril lui sombre dans la dépression. Le fait d'avoir vue son jumeau à la morgue, le fait de l'avoir perdu, le fait d'avoir tuer son frère car pour lui, c'est de sa faute.
Si son jumeau ne l'aurait pas sauver, Djibril aurait rendu l'âme à sa place et ceci est son seul désir depuis cet triste journée qui ne cesse d'occuper l'esprit de tout le monde, même les témoins.

"Pourquoi j'voulais sortir ?"
"Pourquoi j'suis pas mort à sa place ?"
"Pourquoi on a traverser ?"
Toutes ces questions idiotes qu'il se pose jours et nuits. Il en a marre, il sombre. Ne tient même pas debout. Non pas à cause de l'alcool, ni d'la drogue. Jamais. À cause de ses mal de têtes, ses nausées causées par ces insomnies, ces pleurs.

Amel.

Ce soir c'est décider, je tue les deux dernières personnes présente sur ma liste.

Juste passer devant le miroir et voir ma tête de zombie sa fais peur. Heureusement que personne ne peut lire dans mes pensées.

Je posta la lettre que j'avais faite deux heures plus tôt où j'ai mis 15 000 € en liquide puis je la déposa dans la boîte aux lettres de chez Amine, ensuite j'appela Safir.

Il répondit même pas deux secondes après la sonnerie. J'en conclus donc qu'il ne dormait pas.

Safir : Allo ?
Moi : Ouais j'ai besoin de parler avec toi viens à l'entrepôt de -
Safir : Mmh.. Tranquille j'arrive.

J'ai commencer à rouler. En larmes, je savais exactement ce que je lui réserver. Dans les moindres détails.

[...]

Moi : Alors ?
Safir :...
Moi : *rire* T'es tout faible trop drôle.*rire*
Safir : *murmure*

Il était là, attaché à une chaise en plein milieu de l'entrepôt. J'ai galère la race pour pouvoir l'endormir à temps.

Moi : *retire le scotch* Et du coup tu tue mon frère toi ?
Lui : Mais toi, w'Allah t'es pas prête à c'qui va t'arriver. Dit-il sur de lui.
Moi : *rire* Ah parce que je devrais m'inquièter. Tu va faire quoi avec seulement 10 minutes restantes de vie ?
Lui : Sa, par exemple.

Amel.