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«Même en essayant de te repentir, tes mauvaises actions du passé se retournera contre toi dans le futur.»
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Point de Vue Externe :
Italie - 21h
La nuit s'était déjà installé en Italie après 4 heure de vol, une luxueuse bolide toute vernis de noire ce dirigea vers la propriété privé de Dante Mancini, une immense et imposante manoir se dressait devant eux, passait les grandes grilles de la propriété le chauffeur se gara devant la maison puis préviens son patron qui avait les yeux rivé sur son téléphone et n'avait pipé mot depuis la fin de la cérémonie de mariage.
Le seul mot qui était sorti de sa bouche fût seulement un "ferme-là", depuis lors Alejandra s'était tût durant tous le reste du trajet et n'avait pas osé lancer la conversation car elle sentait que c'était peine perdu de le parler et lancer la conversation, il s'était montré dès le départ froid et distant depuis son entré à l'église.
Qui était leur toute première rencontre et la première fois qu'ils se voyaient.
_ Patron nous sommes arrivés.
_ Bien. Déclare t-il en descendant directement de la voiture ne se préoccupant nullement de son «épouse» qui elle poussa un soupir mais décida au final de sortir de l'habitacle en essayant tant bien que mal de le suivre à ses côtés qui lui marcher à grande enjambé et super vite sans se soucier si elle le suivait ou non.
Tout en tenant sa traîne avec ses deux mains pour ne pas se marcher dessus et se ridiculiser elle continua à le suivre.
_ Tu aurais pu m'attendre... Murmure t-elle assez fort pour qu'il l'entende un minimum mais c'était peine perdu il ne prenait pas la peine de lui répondre et continua sa route jusqu'à la maison, ouvre la porte puis entra sans l'attendre lui claquant au passage la porte au nez. Quel gentleman dit donc...mon dieu sur quel spécimen je suis tombé.
Ouvrant doucement une des doubles portes qu'elle referma derrière son dos, elle regardait impressionné autour d'elle, tout respirer le luxe, la modernité et l'aisance financière, observant le hall d'entré qui était immense avec deux escaliers de chaque côtés, devant elle se trouvait une baie vitré menant sûrement à un jardin.
Mais alors qu'elle restait debout attendant à ce qu'un personnel de maison viennent lui faire visiter où encore lui montrer où elle va dormir, personne ne vient à son chevet6 pas même son «mari» avec qui elle venait d'échanger leur vœux devant Dieu et qui avait complétement disparu se retrouvant complètement seul.
Elle se rend compte qu'elle devait une fois de plus ne compter que sur elle même dans cette galère, comme toujours, ça ne la surprenait pas plus.
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