Arza & Mounir | Tout pour la Madre. [2]

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ARZA

Je pousse Abdel, je le regarde puis il part comme si il craignait quelque chose, il a fuit.

Je me retourne ensuite vers la voiture.

...: Monte.

Moi: non, mais...

...: ferme ta gueule sal chienne si tu veut pas que je descend,  monte !

J'ai mal entendue chienne ?

Je monte sans chipoter coter co-copilote. Plus vite sa commence plus vite sa termine.

Je m'assois, lui se retourne et me crache sa fumée de cigarette sur mon visage.

Je retiens ma respiration, dans quelle pétrin je me suis embarquer j'aurais du courir dès qu'il m'a dit de monter.

Il commence à rouler de plus en plus vite, il serre l'entrinte de c'est main sur le volant.

Il prend une autoroute et bombarde encore plus, je m'enfonçais dans mon siège et fermais les yeux j'espérais juste que touts cela ce termine.

Je sent qui freine j'ouvre les yeux, c'était tous noir. Il me dit d'un ton agressif:

...: Descend !

J'ouvre la portière descend, il descend aussi et vien de mon coter.

Il se met en face de moi et plonge son regard dans le mien.

Il tire une dernière fois sur sa cigarette et la jette.

Amar: t'avais essayer de faire quoi ?

Moi: euh, je... il fait nuit.

Amar: ferme ta gueule !
Hier, t'avais essayer de faire quoi ?! Pourquoi tu la défendu ?

Moi: bah, parce que... t'allais le frapper, tu pouvais le tuer...

Et là il s'approche dangereusement de moi, je recule vite et puis il s'arrête nette.

Amar: ta peur de moi ?!

Moi: euh, ou... i, Non non.

Amar: putain ! Pourquoi t'a peur ?! Dit moi pourquoi t'a peur ?

Je ne répond pas et le regarde Peter un câble tout seul, il est vraiment lunatique tu sais même pas sur quelle pied danser.

Amar: la prochaine fois t'évitera de venir défendre n'importe qui.

Je continue à le regarder neutre.

Amar: monte.

Je m'exécute sans dire un mot, le trajet je l'es passer à fixer la fenêtre.

Arriver devant ma tour j'amis ouvrira la portière et descendre, mis il me dit d'une voix serein:

Amar: évite les robes.

Je ne lui répond pas et claque la portière.

Cette soirée c'était crescendo entre Sarah, Abdel et Amar j'étais épuisée.

Je monte directement chez moi.

Moi: Salem aleykoum, je suis rentrer.

Maman: Waaleykoum Salem.

Je file dans ma chambre me changer en vitesse mais juste avant de partir au salon je passe dans la chambre de Mounir.

C'est bizarre il était déjà en train de dormir.