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ARZA

Il a ouvert la porte d'une telle vitesse et d'une telle force que j'avais cru que la porte allais s'envoler.

Il se tenait devant moi et après m'avoir vue il a arrêter de bouger.

Je vous avoue qu'il me fait un peut peur.

Moi: je... vois qu'il faut pas blaguer avec le toque-toquage, je... passe après.

Il passe une main sur son visage pour se calmer, et me dit d'une voix fatiguer.

Amar: non non, rentre.

Je m'exécute, il s'assoit en face de moi, son bureau était entre nous.

Amar: oui ?

Moi: c'était pour... enfin Mounir m'a dit de te donner sa, il manque 2 000€ mais tu prendra se qui manque dans mon salaire.

Il me regarde, sa se voyait très bien qu'il était fatiguer il avait des cernes.

Amar: C'est Mounir qui me doit de l'argent pas toi.

Moi: c'est pareil, l'argent vien du même toit, c'est mon jumeau je te rappelle.

Amar: lui son argent est sal...

Moi: et le tien ? Parce que après tous c'est toi va me donner mon salaire.

Amar: le mien est propre.

Moi: bref, si tu veux, je te rendrai le reste quand j'aurai mon salaire.

Il souffle et passe sa main sur son visage.

Amar: je laisse passer.

Moi: quoi ?

Amar: plus de dette, garde l'argent.

Il me dit Sa en poussant l'argent vers moi.

Moi: mais...

Amar: garde ! Avant que je change d'avis.

Je prend l'argent et le remet dans mon sac, je me lève et lui sourit.

Moi: Merci.

Amar: derien.

Je me retourne et sort de son bureau. J'était vraiment trop contente car avec c'est 5 000 € sa finance bien le voyage de ma mère, je vais même la faire voyager en première classe !

J'etait toute contente je fesait mon ménage en même temp j'avais hâte d'annoncer cette nouvelle à Mounir et ma mère. Tellement que jetait contente quand je fesait le ménage je gardait mon sac avec moi.

Cette fois si j'était en train de balayer le salon, il y avait Amar, Naïm, Younes et Amir qui regardais la télé. Mon téléphone sonne. C'était ma mère, je m'empresse de lui répondre.

[ Moi: allo ? Maman ?

Maman: Arza...

J'entendais des pleure et des reniflement.

Maman: Arza s'il te plaît...

Elle n'arrivait même pas à parler, sa voix tremblait, sa gorge était nouée.

Moi: Allo ? Maman ! Quoi quoi ! Dit moi qu'est ce qu'on y a ?!

Maman: Arza... ma chérie Rejoins moi vote à l'hôpital de ***** vite ! ]

Je raccroche, les autres assis dans le canapé me regardais avec des gros yeux et s'interrogeait. Moi cette situation me fesait plus que peur.

Là tous c'est passer trop vite, mes larmes on couler tous seul.

Je jette directement le balais, je court vers la sortie, j'etait en panique parce que je sais pas si c'est grave mais encore plus parce que je sais pas c'est qui.

Les autres criait mon prénom en me demandant pourquoi je courrais, je court jusqu'à l'arrêt de bus et prend le premier bus venu.

J'etait essouffler en panique en stresse je suffoquait avec un point de coter. J'avais peur qu'il y est arriver quelque chose à ma mère ou à Mounir ou même à quelqu'un de ma famille. Je le supporterais pas.

Moi: sa... s'arrête bien à l'arrêt... ****** ???!!!

Chauffeur: oui.

Je vais au fond du bus et m'assois. Je regardais le paysage d'affilée tellement doucement, j'avais qu'une envie était de dépêcher le bus ! Limite j'etait en train de transpirer, mes larmes tombais sans même savoir pourquoi, je priais intérieurement et fesait une dizaine de douha tellement j'était pas seraient.

Enfin venue à l'arrêt, je descend je continue à courir jusqu'à l'hôpital il fesait froid, il fesait nuit. Avec mes larmes je voyait flou.

Je commencer à avoir un point de coter le moment où j'arrive à l'hôpital.

Quand je traverse les portes automatique je vois toute ma famille qui était en salle d'attente.

Tout le monde était triste, personne ne souriait il avait une salle ambiance.

Je vais vers eux, je vois Mounir j'était soulager.

Je vais vers ma mère, qui était la tête dans les bras et les yeux mouiller.

Moi quand je vois quelqu'un pleurer directement je pleure à mon tour et surtout quand c'est ma mère. 

Moi: maman... qu'est ce qu'il y'a ? Dit moi qu'est ce qu'on se passe.


A suivre...

By: Boosss_

Arza & Mounir | Tout pour la Madre. [2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant