Rose[Terminée ]

il était une Fin Partie 2

Personne ne parlait, tous ceux qui étaient présent dans la pièces retenaient leur souffle, Rose inconsciente de cet affrontement se mit à regarder la salle dans laquelle ils se trouvaient. On pouvait y voir des grands tableaux représentant les anciens rois, les murs étaient peint en violet, des vitres se trouvaient de part et autres des murs ce qui rendait ce lieu rayonnant.

Un trône sur lequel se tenait le roi était placé au fond de la pièce, celui ci était en or blanc, des serpent se situaient de part et d'autre du siège royal, ce qui le rendait lugubre.Rose préféra tenir la main de son Barnabé bien fort afin qu’il ressente sa crainte silencieuse face à tous ces gens qui ne faisaient que la regarder.

Le roi n’y croyait pas ses yeux, il clignait son oeil droit puis celui de gauche, pour lui il était impossible, inconcevable de voir ce couple si atypique, une belle femme dans la fleur de l’âge avec un homme ingrat physiquement et ayant une dizaine d’anné de plus qu’elle. Il pensait que cette rumeur était fausse, que sa curiosité allait établir cette vérité sur ce paysan mais en réalité le peuple de son royaume avait raison, la compagne de ce Barnabé était d’une beauté qu’il en oublia même de respirer.

Le vallet interrompit la contemplation du roi en éternuant , il s’excusa puis se mit à faire un long discours afin de présenter les deux convives au roi.

-......., Barnabé ce paysan venu des terres de Grapesec accompagné de sa compagne cette délicieuse Rose.

La reine regardait avec stupeur cette jeune femme, elle était venu par simple curiosité, elle avait ce bon matin eu vent du départ de ce vil Fino, le valet de son époux, il était apparemment allé chercher un paysan laid selon les rumeurs, ce dernier devait emmener sa compagne qui était  selon les dires de ses servantes être d’une beauté renversante.

La reine se mit à bouillir, une femme plus jeune et plus belle qu’elle allait lui voler sa place elle en était certaine à la façon dont le roi la regardait elle sut que Rose allait lui causer des soucis.

Lorsque le roi prit la parole, Barnabé prit peur, sa belle Rose ne laissait aucun homme indifférent, la cour du roi regardait avec haine et mépris pour les femmes sa Rose tandis que les hommes avaient des regards avide, comme si ils voulaient la prendre en tant que maîtresse, le paysan craignait que son séjour avec sa Rose au royaume se passe mal.Il avait raison, lorsque le roi décidé de prendre la parole afin d’apaiser cette tension qui commençait à se propager dans la pièce, le pauvre Barnabé fut encore plus mal à l’aise que détendu.

-Barnabé, mon cher sujet, je t’ai fais venir dans mon beau royaume car je voulais de mes yeux voir ce que les rumeurs affirmaient à ton sujet. Vois tu, ta belle compagne est considéré au vue de la population comme un diamant que nul homme ne possède,étant le roi du royaume Grapesec il me devait de tuer dans l’oeuf ces ragots.  Dit le roi d'un air sombre.

Le roi n'arrivait pas à détacher son regard de cette jeune femme, il le sentait il fallait qu'il soit au plus près  d'elle,qu'il la sente afin de s'imprégner  de son odeur. Il se leva  machinalement, puis commença à regarder Rose de plus près  sans  aucune gêne .Celle ci était situé à côté de son Barnabé, debout, encerclé par les gardes qui étaient venus les chercher au village, autour d'eux se trouvaient les plus fidèles sujets du roi, qui se trouvait être des personnalités de rang supérieur à celui  de ce pauvre Barnabé.

Le pauvre paysan dégluti, il vit Fino le valet du roi ouvrir les yeux un peu surpris par l’attitude adopté par sa souveraineté, c’est à ce moment qu’il comprit que sa Rose très convoité allait lui poser des problèmes sans qu’elle en ai conscience.

-Soyez convier mon cher Barnabé au festin prévu en votre honneur, nous parlerons seul de votre nouveau titre au sein du village.

Barnabé ne comprenait pas mais se doutait un peu, le roi aussi impitoyable, tyran cupide et vaniteux allait sans doute lui offrir quelque chose de valeur dans le but d’avoir sa rose mais pour lui il était hors de question de l’abandonner, quitte à choisir il préférait vivre dans la pauvreté mais avoir sa douce amie à ses côtés qu'autre chose.

Mon court conte touche  presque à son terme. Désolé de vous laissez dans le suspens mais j'aime bien être sadique  Mdr. Sinon bon week -end.