Chapitre 8

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  ****RÉÉCRITURE À VENIR****  


Je commence par vous dire que je dédierais le prochain chapitre à la personne qui verra juste à une de mes questions de la fin J Ah et désolé du retard, sérieusement je m'en veux réellement mais je vais vous en reparler à la fin donc prenez le temps de lire si vous voulez être au courant de ce qu'il y aura de nouveau ! A tantôt xox

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Avez-vous déjà eu l'impression que votre bonheur tenait sur un fil ? Oui, non, peut-être ? Bref, peu importe ! Moi en ce moment c'est ma situation. (Okaie j'ai l'impression de faire ma victime mais je vous assure ce n'est pas du tout mon but !) J'ai l'impression que mon monde c'est arrêter, que la Terre à arrêter de tourner.

Ma tante, après notre chicane est repartit. Du coup, je me retrouve encore seule. La différence ? C'est en ce moment que j'ai le plus besoin de quelqu'un mais bien sûr il fallait que Lidya ne sois pas là et que Jessica ne veut plus rien savoir de moi.

Je suis encore dans mon lit. Depuis que je suis arrivée tantôt quand les policiers sont venus me porter, je n'ose plus bouger, de peur de déranger quelque chose dans mon destin.

Je fermai les yeux quelques secondes, puis, me faisant sursauter, le téléphone sonna. Avec hâte je le pris et lu : « numéro privé » Se doit être l'hôpital !

''Allo ?''

''Bonjour, est-ce que je parle à Mlle Logane Foy ''

''Oui, qui est-ce ?''

''Le docteur Duplin de l'hôpital Sainte-Sophie.''

''Bonjour docteur, quand est-il de Scott ?'' Demandais-je presser d'avoir des nouvelles de mon ami. Ami ? Ou plus..? Je n'en sais trop rien...

''Vous devriez venir ici Mlle Foy. Pas au téléphone. Pouvez-vous vous déplacez dans les vingt prochaines minutes ?''

''Eumh... Oui bien sûr. Je pars sir le champ. À tout de suite docteur.'' Dis-je en raccrochant tandis que les doutes s'empennaient de tout mon esprit. Est-il correct ? Va-t-il survivre ?

Sans perdre de temps, je sortis de chez moi, perdue dans mes pensées. Pas besoin de plus réfléchir pour le chemin jusqu'à l'hôpital, au nombre de fois où je l'ai fait... Trois coins de rue plus loin de ma maison, mes jambes veulent déjà flanchées. Sachant bien que ma destination est à au moins vingt minutes de marche rapide je décidai de prendre le bus. Ces fichus billets que je traine depuis super longtemps vont enfin me servir à quelques choses. Ne voulant pas avoir affaire au silence, je plantai mes écouteurs dans mes oreilles et entamai ma marche vers l'arrêt le plus proche.

Bon je vais vous expliquez mon affaire avec le silence... Depuis quelques années, j'ai ''peur'' du silence. Il me laisse trop de temps pour penser, pour réfléchir à ce que je pourrais faire plus tard dans la journée ou dans la vie ou bien il me ramène à des événements que j'essaie d'oublier du mieux que je peux. Même si je sais bien que cela est impossible... Mais bon, voilà pourquoi j'écoute de la musique à tout bout de champs. En chantant les paroles, je ne pense à rien d'autre sauf ça. Prenez note ici que je n'écoute pas de la musique douce. Eh bien, en fait, ça dépend de mon humeur. Mais la plupart du temps j'écoute du Suicide Silence, BMTH, SWS... Bref, tout ce qui buche. En réalité, sa buche pour vous, pas pour moi. À mes oreilles, cette musique est plus une douce mélodie comme une berceuse. Ouais je sais, je sais, je suis bizarre.

À l'horaire on y indique que le prochain bus direction Sainte-Sophie est dans quinze minutes. Donc je m'installe sur un banc en écoutant ma musique et en chantant quelques paroles. Surement trop fort puisqu'une dame viens se rapproche de moi.

Un jour je..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant