Mafia tome 2

4

Je rentre chez moi, je salue d'un mouvement de tête mes hommes, ainsi que Mia.
Qui d'ailleurs est affalée dans notre immense canapé en train de bouquiner, à cette pensée je souris légèrement en secouant ma tête de gauche à droite.

Je rentre dans ma chambre, je me déshabille tout en rentrant dans ma salle de bain, je m'attache les cheveux, et je rentre dans la douche.
Quelques minutes passèrent, jusqu'à ce que je sente des mains que je connais que trop bien, se poser sur mes hanches.
Je sens son souffle chaud s'abattre sur mon cou, et ses lèvres humides qui remonte de ma clavicule a ma mâchoire.
Chaque parcelles de mon corps s'enflamment sous ses baisers, je laisse ma tête retomber en arrière pour se poser sur son épaule musclée.

-Tu vas bien ? Soufflât-il contre ma nuque.

-Je crois.

-Tu à l'air ailleurs quelque chose te tracasse ?

-Je pensais juste à tout le travail que j'ai pour demain.

Il passe une main devant moi pour attraper le shampoing, qu'il applique sur mes cheveux, tout en commençant à me masser le cuir chevelu.

-T'es génial ! Lui dis-je tout en riant.

Je le sens rigoler contre moi je me retourne donc pour le regarder, tout en me rinçant.
Il pose sa main délicatement contre ma joue, une autre vague de chaleur m'envahit.
Une fois que j'eus finit de me rincer, je pose ma tête contre son torse, et j'enroule mes bras autour de son corps, je sentis ses grands bras musclés m'entourer.
Nous sommes rester quelques minutes dans cette position, et puis nous sommes sortit.

! ATTENTION !
Je suis responsable de ce que j'écris, et non pas de ce que vous lisez bla bla bla.. donc revenez au « *** » quand cette scène sera finit.

Avant que je puisse atteindre ma chambre pour pouvoir me changer, il attrapa ma main, il me ramena contre lui et il déposa ses lèvres contre les miennes. Ce simple contacté réveilla tout mes sens.
Ses deux mains sont agrippées à ma nuque.
Il me souleva enfin et commença à reculer vers mon lit, où il m'y déposa délicatement.
Il se mit au dessus de moi tout en laissant une traînée de baisers humides le long de mon ventre jusqu'à mon cou, pour se terminer sur mes lèvres.
Je ferma mes yeux afin d'apprécier ce moment et mes mains se mirent automatiquement dans ses cheveux.
Sa respiration ainsi que la mienne devint plus intense, tout comme le désir que je ressentais envers lui.

J'ai envie de lui. Et maintenant.

Commençant à m'impatienter je le retourna et passa au dessus de lui, je lui embrasse le cou le plus délicatement possible, car le connaissant que trop bien je sais que ce simple geste lui faisait perdre le contrôle.
C'est ce qui se passa quand une de ses mains s'agrippa de force à mes fesses et se plaça derrière ma nuque afin de ne pas rompre notre baisers, qui lui se faisait de plus en plus passionné et désireux.

Je sentis son sexe contre le mien, et c'est à se moment là qu'il décida de rentrer en moi.
Un souffle de bonheur sortit d'entre mes lèvres, notre respiration ne fit qu'accélérer au rythme des coups de reins qui se faisaient eux plus rapides.
Je l'entendis gémir contre mes lèvres. Ma mains toujours dans ses cheveux, les maltraites toujours autant en tirant dessus, tout comme ses mains poser sur mes fesses.

-Kiar.. a. Dit-il dans un souffle à peine audible.

***
-Le camion a passer la frontière ?

-Oui, l'échange a été fait. Tout est en ordre on pourra remplir le camion demain.

Je fais un signe de tête à Miguel, tout en lui demandant de sortir de mon bureau.
Et puis je vois cette lettre.

Je la prend délicatement et l'ouvre.

« Ma belle Kiara,
Me ferais-tu l'honneur de m'accompagner au vin d'honneur de notre chère Don ?
S. »

Il m'agace, avec ses manières à la con.
Il a changé, beaucoup trop même, je me demande parfois comment je fais pour être toujours attachée à lui.
Alors qu'il me répugne. Il croit tout savoir, il pense avoir réussi tout seul.
Mais c'est seulement grâce à moi qu'il en est là au jour d'aujourd'hui. Il serait mort depuis bien longtemps si je ne l'avais pas surveillé.
Je n'ai qu'une envie, lui coller une balle entre les deux yeux. Mais je sais que je n'y arriverai pas.

-Je te dérange ? Parce que j'ai toqué mais tu..

-Non t'inquiète, je réfléchis.

Il me sonde du regard, puis fais quelques pas en ma direction pour s'asseoir sur l'un des fauteuils.

-Simone m'a envoyé une invitation pour le week-end prochain.

-Oh. Tu sais ce que j'en pense. Partager ma femme n'est pas trop mon délire.

Je rougis à ses paroles. Il me fait tellement d'effet. Je dois me ressaisir.

-Je sais Boris, j'ai tellement envie qu'il disparaissent il nuis a mes activités et celle de mes alliés.

-De tout façons il n'y connaît rien.

Il me regarde intensément. Et je comprends. Il a une idée derrière la tête. 

-À quoi tu penses ?

-Ah bah enfin ! Et si on le provoquait ?
On ira ensemble à cette réception et tu seras là plus belle de toutes.

Je rigole tout en le voyant complètement satisfait de son plan.

-Comment veux-tu le provoquer en y allant juste avec moi ?

-Il veut absolument te récupérer tu lui montreras que la seule chose qu'il veut à tout prix il ne l'aura finalement jamais.

Son idée n'est pas complètement nul.
Et puis sa lui remettra un peu les idées en places.
Je veux qu'il comprenne qu'il n'est rien dans ce monde.
S'il savait le quart de ce que je fais, je ne pense pas qu'il serait encore là.

-Au faite ! Les filles sont prêtes ?

-Oui on les dégage ce soir, t'en fais pas on a tout prévu.

-Bien, prenez en soins, ce ne sont pas des jouets !

-Oui chef !

Il rigole puis m'embrasse et sort.

Ce soir il part amener de nouvelles prostitués dans une maison close non loins de Moscou.
Ses filles là, j'en prends soin. Elles ont besoin d'argent et de papiers, et le seul moyen pour elles de les avoirs c'est la prostitution.
Je les prends alors sous mon aile.
Une fois qu'elles peuvent vivre normalement elles sont en droit de partir.
Je pense être là seule à prendre aussi soin d'elle, les autres s'en foutent tant qu'elles ramènent de là tunes elles restent et si elles parlent elles meurent.
Je n'ai jamais eu de problèmes avec aucunes des filles, au contraire.

Je finis de signer quelques papiers puis décide d'arrêter pour aujourd'hui.