-Tobias...
-Ça vas?
-Oui, mais toi...
-Tris, le plus important, c'est toi et le bébé.
Je sens quelque chose bouger dans mon ventre, j'attrape Tobias, sa fait mal, c'est étrange.
-Qu'est qu'il y a? S'affole t'il.
Je prend sa main et la pose sur mon ventre, il comprend tout de suite.
-Il bouge, il bouge...
-Oui, je suis un peu émue et lui aussi, ça lui à remonter le moral, même si je sais qu'il ne vas pas dormir.
Une fois à l'appart, il est 4heures, nous allons nous coucher, je le sens bougé, au bout d'une heure, je m' endors.
Je sens Tobias se lever, je regarde l'heure, 6 heures 30.
-Désolé de t'avoir réveillé ma puce.
-Non, t'as dormi?
-Non.
-T'aurais dû me réveiller.
-T'as besoins de repos puis j'adore te regarder dormir.
Je l'embrasse avec passion puis on se lève, il me prépare un super petit déjeuner devant la télé, à 8 heures, Uriah viens me chercher, nous partons direction les altruistes, je suis morte de trouille à l'idée de revoir Marcus mais j'ai tellement envie de voir mon ancienne maison, je suis bien chez les audacieux mais la simplicité Altruiste me manque.
-Alors? Me demande Uriah.
-Alors quoi?
-Ça fait quoi de retourner chez les altruistes?
-Ça vas, on pourra aller voir mon ancienne maison?
-Oui on est en avance. Comment vas mini-Quatre?
Je lui donne un coup de poing.
-Hey, c'est peut-être une mini moi, et il vas très bien, il bouge.
Nous arrivons juste à ce moment, on saute du train, Uriah à l'air perdu.
-Ou ou, monsieur le leader, c'est part là dis-je en partant.
Je traverse plusieurs petite rue, il y a des enfants dans les rues, après la guerre, le quartier à était refait à l'identique et la population altruistes attaque à se reconstruire.
-Voila ou j'ai grandi dis-je devant une maison.
-Comment tu fait, tous se ressemblent.
-On si fait dis-je en ouvrant la porte.
-C'est ouvert s'étonne t'il.
-Oui, chez les altruistes, le fait de fermer sa maison à clef, c'est un signe d'égoïsme.
Une fois dans la maison, je lui fait visiter, il est choqué part le rangement et le manque d'objets personnels dans ma chambre.
-Vous avez pas de miroir.
-Si dis-je en ouvrant le placard, je me revoie altruistes, le jour de la cérémonie du choix. On à pas le droit de se regarder plus de cinq secondes.
Je me dirige vers le salon, il y a un tiroir ouvert, je finis de l'ouvrir, il y a une photo à l'intérieur, c'est très rare chez les altruistes, Uriah cour part tous, c'est bien un audacieux. Sur la photo, on y vois Caleb et moi enfant avec mes parents et un garçon, on dirait, Tobias?! Marcus devait prendre la photo, c'est le jour de l'enterrement d'Evelyn , je s'en les larmes me monter au yeux je décides de prendre la photo.
-Tris, ça vas?
-Oui, pourquoi?
-Tu pleures.
-Ça doit être les hormone.
Il n'y croit pas est me prend dans ses bras, je fond en larmes.
-Il serait fières de toi.
-Tu penses?
-Je ne les connaissait pas, mais j'en suis sur.
-Merci, mais sinon on devrait pas y aller?
-Si, on vas être en retard, on mange chez Marcus.
-On mange quoi?
Il explose de rire.
-T'es pire que moi.
-Ça m'étonnerait.
On se dirige vers la maison de Marcus , c'est lui qui nous ouvre, dans les rues, les enfants nous regarde, il y a même une petite fille qui m'a dit qu'elle voudrait être comme moi.
-Béatrice, tu es enceinte.
-C'est Tris dis-je sèchement, et oui, ça vous pose un problème.
-Pas du tout, c'est Quatre le père?
Uriah me vois me vois m'énerver, il répond à place, j'ai envi de tuer mon beau père si je peut l'appeler ainsi, après se qui nous à fait.
Nous mangeons un plat typiquement altruistes puis nous faisons un tour et tout se qui s'en suit, je ne suis pas très attentive, je repense à la photo. On me demande très peu mon avis et ça me vas très bien.
Il est déjà 5 heures et nous rentrons à l'enceinte, j'ai hâte de revoir Tobias, Uriah s'occupe de Marcus et je me dépêche de rentrer à l'appart, je sens qu'on vas passer une super soirée avec Marcus.
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Et si ils n'étaient pas mort...
FanficEt si Caleb était mort à la place de Tris? Et si Hector était mort à la place de Marlène? Et si Uriah avait survécu? /les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont de Veronica Roth /