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Jun était devant moi, calme, presque inexpressif. Mais je pu lire pendant un instant une profonde tristesse dans ses yeux. Mais son incroyable calme avait repris le dessus.

« Pourquoi n'aurais je pas le droit de partir ? Dis je alors.
- Tu pars comme une voleuse. Dit-il simplement. 
- Je... J'aime pas les adieux.
- Tu es sûr de ce que tu fais  ? »

Bien sûre que je suis sûr ! Je veux partir, j'aime bien cette vie paisible, mais ce n'est pas moi. Je veux découvrir le monde qu'on m'a cacher pendant si longtemps !
Mais je ne lui dit rien de cela. Et il interprèta mal mon silence, il me prit par la main qui était si chaude face aux miennes, avant de me tirer à l'intérieur.

Tous nous regardèrent étonner.
Mais avant que je ne puise dire quoi que ce soit, Jun coupa cour:

« Allons nous coucher, nous en parlerons demain.  »

Sa voie n'avait pas vacillée. Elle était toujours calme et monotone.

*

Quand je descendais, le lendemain matin, ils étaient tous là et semblaient m'attendre.
Jun étais toujours aussi impassible mais je pu lire en lui de la déception. Algique et Uta étaient, quant à eu, calme. Ils ne c'étaient pas attaché à moi autant que Jun et Lagwy, dans laquelle je pouvais lire beaucoup de tristesse.
Même si le début de notre relation était un peu chaotique, on avait fini par s'aimer comme des sœur. Sauf que ces derniers temps, j'étais un peu délégué au segond Rand.
Je peux le comprendre, elle découvre qu'elle a une sœur de 10 ans et une mère encore vivante.

Mais s'en était trop pour moi. J'avais l'impression de me retrouver dans ma prison passer.

« bonjour  »

Dis je d'une voie peu rassurer.
Comment pouvais je m'y prendre pour leur dire que je parter ? Que je les abandonner la ?

« j'aimerais...
- On sait.»

Lagwy ne me laissa pas le temps de finir ma phrase. Abasourdi, je resta muette. J'avais pourtant l'habitude que Lagwy ne soit pas une femme douce mais la tristesse dans leur regards me serrer le ventre.

Sans prévenir, Lagwy me sera contre elle. Cette étreinte innatendu me laissa sans voix, alors qu'elle ajouter déjà :

« C'est pour ça qu'on vient avec toi. Elle recula un peu pour pouvoir me parler droit dans les yeux : nous avons commencé une merveilleuse aventure à 5, toi moi, mais aussi Algique Jun et notre animal préféré Shi. (Shi poussa un petit grognement sur l'épaule de Jun) vous m'avez aidé à vaincre mon ennemi. A moi de t'aider.  »

J'étais abasourdi. Au fond de moi je voulais qu'ils viennent, ne pas me sentir seul, mais j'avais peur de leur demander.
Maintenant, je suis rassurée de leur présence à mes côtés.

Le monde de Pernay 2: TimaquoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant