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Notre tente a brûler. Lagwy fait disparaitre sa faux qu'elle avait sortie pour éteindre le feu. La sérénité a repris le dessus sur son beau visage, puis elle me dis le plus calmement possible:

" Ce feu n'est pas anodin, quelqu'un nous en veut. " 

Je l'a regarde presque surprise, même si le je m'y attendais un peu, vu le comportement de Jun. Lagwy ce relève et avant de réveiller les garçons, elle m'annonce :

"Je pense que quelqu'un ten veut plutôt a toi, il a brûler notre tente de plus Jun veuille sur toi. Il nous cache certainement quelque chose."

Elle s'apprêtais a rentrer dans la tente des garçons, lorsque qu'un bruissement étrange se fit entendre à moins de deux mètre de moi. Lagwy ce retourne si rapidement que son corps me paraît flou. Abandonnant l'idée de reveiller Jun et Algique. Son visage est tordu par la colère et j'y devine de l'inquiètude pour ma moi.

D'un geste souple elle fait apparaitre sa faux et dans le prolongement de son mouvement, elle arrive a mes côtés. Nous sommes proche l'une de l'autre. Tandis que je grelotte assise a coté du feu, elle est debout. Lagwy a une de ces forces, un courage et une bonté immense se  dégage d'elle.

D'autre bruissement se font entendre. Malgrè la faible chaleur que me procure le feu, je peux sentir une couler de sueur couler le long de mon dos.

"Timaquo, pourrais tu te servir de tes dons ?

- O.. Oui, désoler."

Je n'ai même pas penser a faire l'usage de mes dons de liseuses. D'abord le feu puis des bruit étranges. Je suis vraiment perdue.

Je me lève d'un bon avant d'avancer près d'où me provener les pensées de nos deux attaquant. Lagwy me suis de près avec un air dur sur dans les yeux.

"ALors les garçons, vous êtes perdus ? dis je en utilisant mes formes généreuses."
J'ai toujours usée de mon corps et de mes dons pour avoir des faveurs des hommes et des femmes. 

Lagwy reste dans mon ombre restant invisible aux yeux de nos deux agresseurs. Le premier est plus mince et plus grand que le second qui porte une barbe épaisse. Ils portent tous les deux des armes. Mais je ne m'inquiète pas pour ça, ils ne sont pas venu pour tuer, je le lis en eux.

Je peux lire, aussi, que mon numéro de charme a marcher:  beaucoup de pensées sexuels passent dans leurs petites têtes vides.

Mais sans crier garde, ils me sautent a la gorgent, laissant a peine le temps a Lagwy de réagir...

Le monde de Pernay 2: TimaquoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant