Le monde de Pernay 2: Timaquo

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Il devait être aux alentour de 4h30 du matin. Nous avions froid malgrè nos vêtements consus pour le milieu abrute qu'est Pernay. Lagwy ouvrait la marche du cortège, suivit de algique puis moi et Jun accompagné de Shi la fermé.

"On va dormir un peu"

Lagwy, fatiguée de porter notre sac sortie une tente et nos couverture. On l'aida aussitôt a tout installer. Mais avant de se coucher, elle regarda dehors. Jun compris qu'elle voulait monter la garde mais d'un geste lui fit comprendre qui prenait ce tour de garde.

"Lève nous vers 6h, nous maarcherons encore quelques heures avant que la température ne soit extrême."

Jun ocha de la tête avat de nous salut pour dormir. Il prit néant moins sa couverture pour survivre à ce froid qui pourrait congeler un manchot.
Cette demie nuit là, nous dormirent tous ensemble pour se tenir chaud, colleé les uns aux autres.

Le soleil  commençait a peine a se lever quand Jun nous réveilla. Il avait des cernes plus grandes que jamais mais ne grelottait plus comme quand on l'avait laissé. 
Il fesait déjà étonnement chaud comparaît à cette nuit. alors que Algique rengait les tentes, Lagwy discutait pour savoir si la personne qui nous suiffait c'était magnifesté ou approché dangereusement du campement de fortune. Mais Jun nia d'un geste de la tête. 
Il est toujours aussi peu expréssif pensa Timaquo. Il faudra un jour qu'elle réussit a lui faire tenir une longue conversation. Cette pensée la fie sourire. Elle pensait à l'avenir.

Pendant 2jours de marche, où les compagnons dormaient un partie de la nuit et de l'après-midi, se relayant pour monter la garde. Aucun incident n'était survenu, le suiveur ne c'était pas magnifesté mais Jun et Lagwy était sûre qu'il continué de les suivre malgrè le desert.

Les températures étaient désormaient moins extrêmes, mais toujours dangereuse, au fur et à mesure qu'on s'approchait de la rivière. C'est en début de matinée qu'on la vie. La rière d'Ouhir permettait à la végétation d'être florisante dans les alentours. Nous installons alors un campement sous un arbres afin de se repauser près de la fraîcheur de l'eau.