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Lagwy et Algique venait de nous rejoindrent. Ils portaient pleins de vêtements et une clé.

Lagwy me serra contre elle et salua Jun elle était joyeuse. Une joie contagieuse puisqu'elle me tira un sourir. Elle sautait partout, elle déborder d'énergie.

"On a une jolie chambre, une chambre à quatre lits, dit-elle. "

Algique ouvrait la marche, ensuite c'était moi. Jun et Lagwy discuter derrière. Enfin, ils chuchchotais. Pourquoi ? Ils avaient quelque chose à cacher ? J'en ai plus que assez de leur cachotteries.
Alors que je m'apprêtais à leur donner mon opinion sur leur secrets, je les entends murmurer :

"Toi aussi tu l'as sentis ? Demande Jun.
- Oui, attendons voir ce qu'il ce passe, mais restons sur nos garde, lui répond Lagwy"

Je me demande de quoi il parle. Mais ce n'est pas le moment de les questioner, surtout qu'ils ne voudrons pas me dire ce qu'ils savent. Je m'étais promis de le plus utiliser mes dons sur eux mais il n'y a pas de règles sans exception. (merci l'orthographe française

Quand on arrive dans cette chambre, sombre, Algique déposé tout les vêtements et nous propose de les essayer.

Je ne sais pas si c'est pour nous d'étendre, de notre longue journée mais c'est le résultat obtenu est celui-ci.

Lagwy est vraiment à côté de la plaque niveau fringue, elle a essayé des hauts et des bats différentes mais ils n'allaient jamais ensembles. Je ne sais pas comment elle fait pour être autant dépareillé. Elle est à mourir de rire.

Heureusement que Algique est intervenu car c'était une ca-tas-trophe ! Au contraire de Lagwy, celui-ci a très bon goût. A croire qu'il a toujours vécu dans le luxe. D'ailleurs, d'où vient il ?

Notre style reste toujours le même, Lagwy garde ce noir profond même si les petits cœur ont disparu laissant place à des boutons dorés sur des manches plus courte.
Quant à moi, je garde mon style provocateur, ma seul arme. Une jupe bleue, très courte et fendue avec un haut de la même couleur plus couvrant que le pressedent.

Les garçons gardent leurs vieux fringues.

Lorsque nous nous couchons enfin, je reste éveiller malgré tout et attend mon heur, le moment où je pourrais enfin lire en eux.

Le monde de Pernay 2: TimaquoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant