10

7 1 6
                                    

Le combat ne duras pas longtemps. Yu et Yo était peut-être de bons mercenaires, musclés, armés, mais ce n'étais pas suffisent face au duo Lagwy et Jun.
Lagwy tranché tout avec sa faux, Jun, en osmose totale avec Lagwy, lancé ses couteaux fixés a ses chaînes. Ils étaient incroyable, Jun empêchait qui qu'onques t'atteindre Lagwy, tandis que celle-ci attaquais sans relâche. Ils formaient l'épée et le bouclier, même si ils pouvaient facilement intervertir leurs position.

"Woua ! s'exclama Kakachi, j'ai de la chance d'être protégé pars de si bons guerriers que vous."

Lagwy assomma les deux hommes d'un coup violent de sa magnifique faux noire aux reflets rouges. Jun en profita pour faire apparaître deux autres petite lames indépendante afin de les fixer au sol avec celle-ci.
Une fois sure qu'ils ne se réveillerons pas tout de suite, Lagwy leurs fit signes de partir. Il ne fallait pas rester très longtemps ici, au risque de devoir se battre a nouveau.
Timaquo s'approcha de Kakachi et lui dit:

"Kakachi... je
-Ne t'en fais pas mon enfant, je n'ai pas besoin de savoir. Parfois, les gens se bloquent dans un point de vue sans vraiment regarder de l'extérieur se qu'il se passe vraiment, de ce fait ils ne comprennent pas vraiment la situation et tirent des conclusions hâtive.
-Merci Kakachi."

Ils reprirent la route, mais avant ça, Lagwy sorti une petite capte du sac et la mis sur les épaules de Timaquo. Pour éviter qu'on la reconnaisse a nouveau. La formation de marche était, jun et Lagwy devant, suivit de Timaquo et Jun. Kakachi et Lin marchaient ensemble a l'arrière du petit groupe.

"Tu es bien triste mon enfant."

Lin se retourna vers le vieille homme, étonnée de ses propos.

"Je ne suis pas triste. 
-Pourtant ce n'est pas ce que tes yeux me disent.
-Je ne pleure pas.
-Ah les jeunes ... Ce n'est pas pars ce qu'on des larmes coulent  pas qu'on ne pleure pas intérieurement .
-...
-Tu es une soldat non ? Pourquoi n'as tu pas levée le petit doigt tout a l'heure?
-J'ai mes raisons, de plus ils se sont très bien débrouillés sans moi.
-J'ai vu. Tu es comme ses deux hommes, tu cherchais Timaquo ? Mais tu as renoncé ... Tu sais des fois les ordres ne sont pas toujours juste, ou donné pars la mauvaise personne. Quand j'étais plus jeune, le chef de mon village a emprisonné mon père. Par pur jalousie. Il était jaloux de sa réussite en tant que vendeur ambulant. Mais le village n'a rien fait. Quelques mois plus tard il a finalement était acquitté.
-Je vois pas le rapport.
- Tout ça pour te dire, que parfois la justice n'est pas toujours en vigueur, Il faut toujours écouter son cœur et la morale, savoir pesé le pour et le contre afin de faire le bon choix, quitte a défier l'autorité contesté des fois."

Le monde de Pernay 2: TimaquoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant