*Taeyong*
Je me réveilla avec un énorme malade de tête. Ten dort profondément à côté de moi. Est-ce que ce qu'il s'est passé était un rêve? Je réveille Ten en lui donnant des petites claques sur la joue. Il se réveille et me sourit de toutes ses dents. Je suis rassuré rien de tout ça n'est arrivé c'est juste un cauchemar. Nous prenons une douche ensemble puis on se dirige vers la salle où l'on peut manger. Il y a peu de monde et c'est très bien comme ça. Je pars chercher ce que Ten aime le plus il n'a pas l'air d'aller bien.
Il n'a même pas toucher à son assiette.-Bébé mange regarde tu es tout pâle.
-Je vais bien Taeyong mais je n'ai pas faim.
-Mange.Ten ne toucha même pas une fois à son assiette. Peut-être qu'il n'a vraiment pas faim.
On débarrasse nos assiettes et nous nous dirigeons vers l'ascenseur. A l'intérieur, il me colle en plaçant sa main sous mon T-shirt.-Taeyong tu te sens comment?
-Je vais bien pourquoi?
-Rien d'important.Il retire sa main et passe devant moi.
....
Je n'aies pas su voir Ten de toute la semaine car mon planning était chargé et je n'ai pas eu une seule de ses nouvelles. On dirait que ça recommence à nouveau et je me sens vraiment inquiet. Je reviens vers sa chambre et la trouve ouverte. La chambre est plongé dans un noir complet seulement éclairé légèrement par une lampe donnant une ambiance rose. Je peux voir l'ombre de Ten a travers la porte de la salle de bain.
-AHHHHHHH!
Je reconnaissais la voix de Ten. Il avait crié comme un monstre. Je ne perdis pas de temps Et accouru jusqu'à la porte. Ce que je viens de voir me rend malade. Ten était au sol se tenant le poignet tout en gigotant comme si il avait des spasmes. Je le pris dans mes bras et le supplia de me regarder.
-Ten qu'est-ce que tu as fait HEIN?
Je vis sur le côté une seringue. Il n'est plus maître de son corps.
-Ten qui t'ordonne de te droguer?! RÉPONDS!
Il ne réponds que par des gémissements de douleur.
J'appelle l'ambulance.
Il faut faire vite.
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STOP BABY DON'T STOP |TAETEN|
Fanfiction« L'absence de tes yeux devant les miens, de ton visage proche du mien, de tes lèvres contre les miennes est pour moi le début d'une agonie amoureuse. »