Tome II Diabolik Lovers et les aventures d'Émilie [EN PAUSE]

Chapitre 8

PDV EMILIE

Je suivis mon kidnappeur sans faire d'histoire et on s'arrêta dans une forêt. Cette forêt m'est familier. Il remarcha un peu et s'arrêta devant un lac et je pouvais voir mes parents. J'allais courir jusqu'à eux mais il me retint. Je lui lança un regard noir mais quand je vis un sourire sadique sur son visage la peur pris place. Je regarda mes parents et j'attendais ce qu'il me demandait de faire. 

PDV MARIE

Une fois arrivée au lac, nous avions regarder dans les alentours mais toujours aucun signe de ma princesse. Je partis m'assoir sur l'herbe et ferma les yeux pour réfléchir à l'endroit où elle pourrait être. Je rouvris soudainement les yeux quand j'entendis un craquement de branche dans les bois pas très loin de nous. Je me leva et partis voir. Je m'approcha lentement et soudainement je vis une ombre. Elle était petite donc j'en déduisis que c'était un enfant. Ensuite, plus je m'approchais, plus je pouvais distinguer la silhouette. Elle avait de longs cheveux, et je pouvais voir que c'était une fille puisque je pouvais voir un peu le tissu de la robe. Je continuais de marcher jusqu'à ce que je remarqua que c'était ma fille. 

Marie: Emilie ?! *surprise* 

Elle se retourna et quand elle me vit, elle courra vers moi et me serra dans ses bras. Je la serra moi aussi et une fois notre étreinte finis, je l'inspecta pour voir si elle n'avait aucune blessure ou autre. Je soupira de soulagement quand je ne vis rien. Je la serra encore une fois dans mes bras et après je l'emmena près du lac où je vis Kou inquiet. Je rigola légèrement et quand Kou nous vit, il écarquilla les yeux et nous pris toutes les deux dans ses bras. Il nous faisais tournoyer dans les airs en nous embrassant les joues. Ma fille et moi rigolions. 2 minutes après il nous reposas à terre et nous commencions à prendre le chemin pour le manoir. Sur le chemin, je remarqua qu'Emilie avait la tête baissée et qu'elle ne parlait pas avec nous. Une fois arrivée au manoir, on partit dans le salon et on pouvait voir tout les regards étonnés quand ils virent Emilie. Manon comme toujours fut la première à sauter dans les bras de sa nièce. Une fois que tout le monde la serrèrent dans leurs bras ce qui prit pas loin d'une heure puisque Ayato, Kanato et Raito refusaient de lâcher Emilie. J'en rigolais car les triplets refusait vraiment de la lâcher. Donc je disais, une fois que tout le monde la pris dans ses bras, on mangea et après Emilie nous dis qu'elle montait dans sa chambre car elle était fatiguée. Je l'embrassa sur la joue lui fit un câlin, après elle partit dire au revoir à son père et ensuite elle partit dans sa chambre. Mais quand elle commença à ouvrir la porte, je remarqua un bracelet sur son poignet gauche. Le bracelet était bizarre car il était noir avec des petites nuances de rouges. Ce n'était pas un bracelet en tissu non. C'était un bracelet en fer je crois qui lui serrais le poignet. Je ne m'attarda pas la dessus mais je vais mener ma petite enquête comme même. Une fois le repas terminée, je partis dans la direction de la chambre de ma fille et entra dans sa chambre tout doucement. Une fois dans celle ci, je fermas lentement la porte et regarda sa chambre. Je la vis allongée sur son lit en train de dormir. Je m'approcha et la regarda. Je regarda ensuite son bracelet qu'elle avait à son poignet et je le détaillée.  Ce qui m'étonna, c'est que le bracelet avait une sorte de magie qui l'entourait de sorte à ce qu'on ne puisse pas l'enlever. Je commença à me poser plusieurs question sans réponses. Je l'embrassa sur le front et sorti de la chambre pour aller dans celle de Kou. Je toqua et entra dans la chambre. Je le trouva allonger sur le lit , la tête dans son oreiller surement en train d'essayer de dormir. Je mis un short gris et un débardeur blanc qui me servent de pyjama et me mis sous la couette à côté de lui. Une fois bien installer, je commença tranquillement et lentement à m'endormir quand je sentis quelqu'un m'enroulait la taille. J'ouvris lentement les yeux mais les refermas quand je vis que c'était seulement Kou.