Chapitre 9

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~26 mai 2005 10h37~

Mathieu était dans sa chambre, ses parents étaient absents, il était allongé sur son lit entrain de lire un livre quand un bruit étrange se fit entendre au ré-déchausser. Les planches de l'escalier un bois craquaient sous le poids du jeune garçon.

13h42

Le froid enrobait le corps frêle et faible de Mathieu, il était attaché à une barre en fer froid, rouillait. Dans la petite pièce seul un calendrier avec la date du 13 avril entourait au marqueur rouge et une horloge électronique bloquait pour 13h00, la déco avait un goût quelque peu étrange, la personne qui avait enlevé Mathieu faisait une fixation sur le nombre 13 à en croire les 13 de diverse taille et couleur marquaient sur les murs

~1 avril 2005 15h17~

Mathieu malgré son jeune âge est sa taille haute comme trois pommes, il gardait la tête haute face à l'homme dressait devant lui. Cela faisait parti des règles que son père lui avait apprise, ne baisse jamais les yeux et ta garde.

~3 avril 2005 17h15~

Les parents de Mathieu étant en charge de l'enquête, ils passaient leur journée et leur nuit à chercher des pistes mais malgré les efforts seuls deux tenait la route. Plus les minutes passaient et plus les chances de le retrouver mort ou de ne pas le retrouver augmentaient considérablement.

~7 avril 2005 11h15 ~

Contrairement à ce qu'on pouvait croire, hormis le fait que la pièce soit un peu lugubre Mathieu était plutôt bien loti, il était nourri, il avait un lit et avait de quoi s'occuper et se doucher. Mais quelque chose n'allait pas, plus les jours passaient plus le stresse monter, c'est vrai après tout depuis quand on kidnappe les gens pour les logés et prendre soin d'eux.

~10 avril 2005 22h43~

Dans un commissariat plongeait dans le noir seul une pièce était éclairé, le bureau des parents de Mathieu était remplit de papier, chaque détails étaient minutieusement analysé. Les tasses plus souvent vidaient que remplit.

~12 avril 2005 23h53~

La fatigue était présente et pourtant malgré l'envie de fermer les yeux et de plonger dans les bras de Morphée étrangement son subconscient le tenait éveillé. Inconsciemment Mathieu se doutait de ce qui aller suivre.

~13 avril 2005 8h23~

La nuit avait été courte et difficile , mais le réveille eu une toute autre tournure. Mathieu était accroché à une croix d'environ 1 m 50 de haut, prit de panique le jeune brun commença à appeler à l'aide. André entra quelque minute plus tard dans la pièce et s'assis sur la chaise en fer noir située devant la porte en métal gris, il saisi un fusil et un couteau au hasard et commença à l'aiguiser, finalement vu les circonstance Mathieu se tut.

~13h07~

Les deux paires d'yeux étaient rivé sur la porte en face d'eux depuis un peu plus d'une heure maintenant, la pièce était enrobé par un silence glaciale et effrayant. Soudain le boucher des lieu se leva d'un geste lent de la chaise et se colla au mur juste à côté de la porte. Celle-ci s'ouvrit avec fracas et vint frapper le mur avec force. La surprise pour les deux personnes qui venaient d'entré dans la pièce était si grande qu'ils en baissèrent leur garde et quand ceci fut fait l'homme jusque la cachet les assomma d'un coup sec sur l'arrière de crâne.

~14h08~

Une douleur intense germa dans la tête des deux intrus arrivaient plus tôt, les paupières lourdes, la lumière intense dans la pièce leur donnait des vertiges à moins que ce soit le choque de la batte sur leur fin crâne ou la hauteur qui les séparaient du sol.

D'un point de vue intérieur à notre protagoniste les deux inconnus n'étaient qu'autre que les parents de Mathieu et ils sont actuellement dépourvu de leurs vêtements et attachaient par les poignets comme des cochons pendus prêt à être saigné à blanc, finalement dans un contexte logique nous sommes non loin de la vérité. Les yeux maintenant ouvert les policiers scannèrent la pièce, sous l'absence de Vrad, puis leur regard fini par se poser sur la personne à côté les larmes aux yeux. Les jeunes parents quelque peu soulageaient d'avoir retrouvé leurs fils, le père fut le premier à engager la conversation ce voulant rassurant pour Mathieu mais finalement inconsciemment ce n'était pas vraiment Mathieu qu'il cherchait à rassurer mais plutôt lui-même.

Finalement leur solitude ne fut guère longue puisque Vrad pénétra dans la pièce une vingtaine de minutes après son départ. Il fit le tour du lieu avant de se positionnait devant les policiers puis d'une voix sinistre il brisa le silence "J'aurai aimé vous torturer avant mais je ne veux pas abîmer votre peau, alors... " sans finir sa phrase l'homme se retourna, un sourire sadique au visage et s'avança vers Mathieu en une fraction de seconde le psychopathe abattit son poing à de nombreuse reprise sur le visage de Mathieu, qui lâcha de petit couinement de douleur. Dans un bruit de fond assourdissant les parents de Mathieu hurlaient à s'en arracher la voix. Pour seule réponse de leur fils un liquide rougeâtre coulant en abondance d'entre ses lèvres. Vrad fini par détourner son attention de Mathieu, il s'avança vers l'une des tables et saisi deux pince et un couteau qu'il accrocha à sa ceinture. Il s'approcha des corps dénudaient des policiers, dans un premier temps il caressa la peau tendre et douce de la jeune femme, puis sa deuxième mains vint elle aussi caresser la peau ferme mais tout aussi douce de l'homme. Dans un détachement de la réalité Vrad fit une entaille sur la longueur totale du dessous de pied de la policière et refit cette action sur le seconde pied, on dit souvent que la douleur morale est plus dur que la douleur physique, actuellement la jeune mère aurait jurée le contraire. L'ouragan de souffrance se répandit sur l'entièreté de son corps, la sensation de se faire planter des aiguilles de 10 cm le long de la colonne vertébrale était atroce si ce mot est assez fort pour définir cette sensation. Vrad battu la chaire environnent l'entaille pour l'assouplir puis il saisit les deux pince en métal une dans chaque main, par ironie les pinces ressemblant plus des grosse clap, qui faisait pile poil la longueur du pied de la belle brune, l'une des deux plaque de la première clap s'enfonça dans la plaie béante et sanguinolente et vint rejoindre la deuxième plaque pince la peau il recommença cette étape une deuxième fois puis saisi les pinces et tira vers l'extérieur, la peau ce décollait des muscles faisant giclé un liquide rouge en abondance. Tandis que la femme hurlait à en décocher les plus hautes note de la mélodie "De la Douleur" son mari implorait de la laisser il se débattait sur sa cordelette essayant tant bien que mal d'atteindre leur bourreau. Finalement en moins d'une minute, la seule chose qu'on pouvait entendre était les larmes de détresse et de tristesse de Mathieu et de son père, la jeune femme n'avait pas supporté la douleur, aucun n'être humain aurai pût la supporter, elle avait fait une crise cardiaque, ceci dis, c'était mieux pour elle. Vrad détacha le corps inerte de la demoiselle, le laissant s'écrouler au sol avec lourdeur. Puis il reprit son activité et continua à dépecer la défunte sous les yeux larmoiement et désespéré du mari. Quand, soudain un nouveau vacarme se fit entendre, c'était eux, oui, les secours, enfin. Dans un laps de temps infiniment long pour le policier mais en réalité très court, la brigade débarqua, puis touts enchaîna, l'arrestation, sa libération avec celle de son fils, l'arrivaient des médecins, la prise en charge du corps, la sortie du bâtiments puis l'hôpital, le retour au poste de police. La cadence devient de plus en plus rapide, le jugement, l'emprisonnement de Vrad puis dès qu'il pu pleurer, la venu de la dépression, le traumatisme, les souvenirs de sa femme, puis il se rappela de son fils qu'ils envoya chez de la famille n'étant plus apte à faire quoi que ce soit puis ça ce termina par un suicide que tout le monde avaient vu venir mais que personne n'a arrêté.

Finalement Mathieu avait été le plus silencieux dans cette histoire, tellement que tout le monde fini par penser qu'il était trop jeune le jour des faits et qu'il ne s'en souviendrai jamais. 

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Loin D'être SeulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant