la pluis ou les larmes?

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Kagehina = haikyu

Je me retrouvi propulser en arrière par cette personne au cheveux de feu, un air choqué et étonné était gravé sur mon visage, mes yeux remplis d'étonnement et d'incompréhension le fixai et un silence pesant s'installa entre nous. Je décidai de le rompre en lui posant une simple question : de relever sa tête baisser. Pour seul réponse, je n'existe qu'un signe de tête négatif dans son geste on pouvait voir la rage et la tristesse. Il commença à me dire une chose, une chose qui me fit frissonner de terreur:

T-tu n'est qu'un égoïste.

Ces simple mots ne firent qu'un tour dans ma tête. Je pris peur, non pas par le simplicité déconcertante face à la situation, mais par la froideur de son ton.

Je decidai de rire nerveusement et dire:

De-de quoi parle tu?

Mes yeux remplis d'inquiétude ne le lâcher pas et c'est à ces mots qu'il décidat de relever la tête. Un regard vide me fixe dans le blanc des yeux, il n'y avait pas de sentiments, pas d'étincelles dans son regard, de courage et d'envie de continuer malgré les remarques.

Une sueur froide parcourut mon échine, il me regarda quelque minutes et finit par dire:

À quoi ça sert de vouloir t'aider si c'est pour que tu me repousse encore plus?

Me dit il le yeux livide. Mon sang ne fit qu'un tour dans mon corps pour comprendre ce qu'il se passé. Il se construit un mur, une armure pour ne plus souffrir, un mur indestructible que personne ne pouvait abattre. Et tout ça c'était ma faute, car je ne voulais pas qu'il abattre mon mur, le mur que j'ai mis si longtemps à construire, me mur que seule le soleil a pu détruire et par peur de souffrance, je l'ai éloigner de moi. J'ai arranger que mon bonheur n'est jamais existé, ces moment passer à rigoler.















Je l'ai est effacer












Au moment où je penser à ces mots, une voix me ramena à la raison. Une voix cassée, stridente que seul le désespoir peut fournir.

Pourquoi... pourquoi ma tu fais ça?

Mes yeux été plongée dans les siens, toujours sans nouvelles d'humanité. Les yeux rond je bafouille :

Je...je suis...je suis d-désolé

Mes mots été sortie tous seul, comme si une personne m'obliger à les sortir.

Ça ne répond pas à ma question !

Me hurla t-il. Je le regarde, les yeux exorbités par ces paroles d'un ton sec et meprisant. Il m'attaque le col pour nous rapprocher d'un geste violant tout en me criant:

Je te déteste, je te déteste...

Il répète ces trois mots une bonne dizaine de fois avant de baisser ces yeux et de chuchoter à voix basse comme si il deviner une affirmation qu'il ne veux accepté.

Je te déteste, alors... Alors pourquoi la simple idée de me séparer de toi me terrifié tant?!!

Je n'en reviens pas. Ces mots firent un pincement dans mon coeur. Je laissais aparretre un rictus au coin de ma bouche. J'étais heureux qu'il dise cela, mais à la fois triste et abasourdi.

Alors on sera deux.

Dis-je pour détendre l'atmosphère mais au contraire. La dureté de son regard se fit plus intense que au paravent.

Après tout ce que tu m'a dis! Tu veux que je reste avec toi? Ne me prend pas pour un imbéciles ! Boke! Tu veux juste alléger ta conscience !

Ce jour là je ne serai jamais si ce sont là pluie ou les l'arme qui on mouillé en premier mon t-shirt.

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590mots. C'est pas beaucoup je vous l'accorde mais je suis fier de se chapitre ( si on peux appeler ça comme ça) merci encore de lire mes os et à bientôt 😽

je t'aime alors...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant